30 octobre 2014
Nouvelle rubrique
- Les spectacles : La presse régionale nous fait connaître quelques concerts qui eurent lieu entre 1888 et 1929.
Compléments
- La fanfare
: Divers articles de la presse régionale nous informent sur la
participation de la fanfare de Villennes aux fêtes locales ;
chaque année, elle animait, en particulier, la fête la
Sainte Cécile qui, en 1927 et 1928, a eu lieu en même temps
que la fête des sapeurs-pompiers, la Sainte Barbe. Deux ans plus
tôt, elle avait lancé une campagne de
recrutement de musiciens auprès des jeunes de Villennes et des
communes voisines ; nous reproduisons, intégralement, le courrier
envoyé dans ce but. Les séquences sonores étaient
dans un format, qui n'est plus très utilisé aujourd'hui ;
nous les avons remplacées par des fichiers mp3.
- L'île de Villennes / L'Ile
du Rêve : Nous avons ajouté un extrait de
l'ouvrage Les dimanches de
Louveciennes de Sophie Delassein, qui présente les amis
que Pierre Lazareff recevaient, tous les dimanches, dans leur villa
villennoise. Il y est également, question de Carment Tessier,
chroniqueuse des « Potins de la
commère » de France-Soir
et de Jean Chevalier, photographe à Elle
...
19 septembre 2014
Compléments
- La pêche et Villennes de 1914 à 1918 : Une même photo, représentant un défilé à l'occasion d'un concours de pêche en juin 1914, a été ajoutée dans ces deux rubriques.
- Physiopolis : Nous avons placé une photo d'une famille naturiste, devant sa petite tente, avant la construction des bungalows en fibrociment ; elle accompagnée d'une citation de l'ouvrage, où elle a été publiée : "Est-ce pour rendre à la vérité - même quand elle est d'une beauté contestable - un hommage semblable, que les « naturistes » ont choisi, pour leurs démonstrations et leurs divertissements, l'île de Villennes, à une demi-lieue de Médan ? Les naturalistes, du moins, ne mettaient à nu que les âmes.
- Yachting et motonautisme : plusieurs extraits de la presse régionale, nous faisant mieux connaître ces loisirs nautiques sur la Seine à Villennes, ont été ajoutés.
- Faits divers / noyades : La Seine n'était pas qu'un lieu de loisirs. Le fleuve a fait vivre quelques familles de Villennes ; malheureusement, plusieurs membres d'autres familles y ont trouvé la mort ainsi que des habitants de villages et de villes voisines et des Parisiens. La Seine a également apporté des corps de noyés qui n'ont pas été identifiés. Nous publions des informations sur des disparitions et des apparitions de noyés de 1640 à 1900.
1er juin 2014
Nouvelle rubrique
- Les routes et les chemins / Les chemins ruraux et
vicinaux : De nombreux chemins ont
été élargis et ont changé de nom ; certains
ont disparu. Cette rubrique apporte des informations sur les chemins
vicinaux (classement de trois chemins en 1899, ouverture d'un chemin
entre Breteuil et la Clémenterie en 1904). Vous pouvez y
consulter un fascicule de
1893 nommé Etat
de reconnaissance des chemins ruraux (si vous utilisez un
navigateur le permettant).
Compléments
- La rue de Poissy : L'annonce de la vente aux enchères de la villa Le Petit Bois, en 1914, nous décrit la villa juste avant la Première Guerre mondiale et nous renseigne sur les propriétaires à cette époque.
- Les sports / tennis : ajout d'une photo du court de tennis de l'Hostellerie de la Nourrée.
27 avril 2014
Compléments
- Les célébrités d'antan (spectacles et loisirs) / Emile Havez, chef de claque et financier du théâtre : Emile Havez fut le deuxième Parisien résidant en villégiature à Villennes, qui en devint maire. Il y fut un important investisseur immobilier de notre village, où il fit construire et posséda plusieurs villas. Dans cette rubrique, nous décrivons ses activités dans le théâtre, qui lui apportèrent sa fortune. Nous y évoquons, également ses amis, comédiens ou directeurs de théâtre, qu'il fit venir à Villennes.
- Les célébrités d'antan (spectacles et loisirs) / Arthur Riga, régisseur général du Théâtre des Variétés : Cet ancien artiste dramatique puis régisseur en chef du théâtre des Folies Dramatiques a acquis, en 1899, deux parcelles, de part et d'autre de l'actuelle avenue Foch, sur lesquelles n'existait qu'un petit bâtiment avant la construction de la Villa Marie Isabelle.
- Les célébrités d'antan
(spectacles et loisirs) / Victor Koning, journaliste
puis auteur dramatique et directeur de théâtre
: Auteur dramatique et librettiste, il fut ensuite directeur du
théâtre de la Gaîté et du théâtre
de la Renaissance. C'est dans sa maison de campagne de Villennes, qu'il
fut transporté, dans un état grave, après une chute
dans l'escalier d'une maison du boulevard Montmartre.
1er avril 2014
Compléments
- La pêche : Ce n'est pas un poisson d'avril ! Deux des fils de Jean Laurent Ménard, agriculteur élu premier maire de Villennes en 1790, avaient des activités relatives à la pêche : celui prénommé Laurent comme lui était pêcheur ; Pierre Gilbert avait été le garde des eaux et forêts du dernier seigneur, Pierre Paul Gilbert de Voisins, avec la fonction de garde pêche. Ses rapports nous font connaître deux procédés qui étaient utilisés dans le bras de la Seine, appartenant au seigneur, notamment par ceux qui n'avaient pas le droit d'y pêcher.
- L'avenue du Président : Depuis notre causerie de l'année dernière, nous avons apporté divers compléments sur des villas de l'avenue Georges Clémenceau.
- La villa de la Nourrée (et hôtellerie) : Nous avons ajouté la description de la villa, lors de sa vente en 1898, après le décès d'Emile Magitot.
5 mars 2014
Compléments
- Le commerce / L'épicerie : Nous avons ajouté des informations sur la grange, à l'emplacement de laquelle le bâtiment de l'épicerie a été construit, suite à sa vente en 1874.
. projet en 1884 de transformer le château en
annexe du collège Chaptal,
. vente, en 1887, du potager et des terrains de la rue du Pont,
. recrutement en 1896 d'un couple, un garde cantonnier et son
épouse concierge.
- Le Bois des Falaises : annonce de la vente en 1897.
- La gare : Dans la presse régionale en 1924, disparition d'un banc et rappel du Syndicat d'Initiative sur la nécessité d'arriver à l'avance pour acheter ses billets
3 février 2014
Compléments
- Les maires / Les élections municipales : Nous avons ajouté plusieurs transcriptions d'articles de la presse régionale sur les élections de 1887, 1892/93 et 1929.
- Les maires / Benoit Redaux et Eugène Lamiraux : Nous connaissons mieux ces deux maires, grâce à des articles publiés après leur enterrement, respectivement en 1893 et en 1929, dont nous publions les textes.
- Les restaurants de l'inéreur du village / L'hôtel-restaurant "Au Berceau" : Après son père Eugène Joseph, Eugène Lamiraux a été propriétaire de la ferme située en face de l'église, derrière le restaurant Au Berceau ; celui-ci, fondé par son père, était exploité par son beau-frère Léon Bodin. Nous avons ajouté l'annonce de sa vente en 1905, après la prononciation de sa liquidation judiciaire.
Suite à la publication de l'article "Edmond Bories, le premier historien des 2 Rives" dans le Journal des 2 Rives, cette nouvelle notice biographique met l'accent sur ses activités artistiques, en présentant de nombreuses images de ses ?uvres.
2 décembre 2013
Compléments
Nous avons continué à compléter plusieurs rubriques avec des informations trouvées dans la presse régionale du siècle dernier.
- Les fêtes traditionnelles : vous pouvez y lire
d'autres comptes rendus de fêtes de Noël, avec les discours
des maires de l'époque.
- Les écoles : entre les fêtes de
Noël et la distribution des prix, la question scolaire animait
souvent la vie villennoise, notamment en 1887 à l'occasion d'une
polémique entre les conservateurs cléricaux et les
républicains.
- La
gymnastique : dès sa participation à des
compétitions régionales, l'association "Espérance
de Villennes", fondée en 1928, a obtenu des
succès sportifs.
- Le gaz
: manque de combustible, réparations à effectuer à
l'usine, inondation ; de nombreuses raisons existaient en 1924 pour
expliquer le manque de pression mais les habitants continuaient à
protester.
- L'électricité
: la Société d'Electricité de Villennes a
été mise en vente en 1926 mais elle est restée en
activité, l'exploitation étant assurée par
Ouest-Lumière, jusqu'à la création de l'entreprise
nationale EDF en 1946. Y avait-il alors des illuminations de Noël ?
- Le château d'Acqueville : Des photos issues d'un album de la famille de Lassuchette nous présentent plusieurs de ses membres en 1894 ainsi que des cabriolets lors de l'attente d'une sortie du château ou à l'arrivée de visiteurs.
30 octobre 2013
Compléments
Nous avons continué à compléter plusieurs rubriques avec des informations trouvées dans la presse régionale du siècle dernier.
- Le cimetière : cérémonie du
souvenir de novembre 1927,
- Villennes de
1914 à 1918 : les Gardes des Voies de Communication,
- La chasse : il ne s'agissait pas d'une guerre mais
d'un réel conflit qui opposa, en 1927 et en 1928, les
chasseurs de Villennes et ceux de Médan à propos des
limites de leurs territoires de chasse,
- La poste
: plusieurs articles, publiés en 1924 et 1925 dans le Journal de
Poissy et ses environs, protestaient contre l'incurie de
l'administration des P.T.T.
30 septembre 2013
Compléments
Nous avons continué à compléter plusieurs rubriques avec des informations lues, pendant l'été, dans la presse régionale du siècle dernier. Vous pourrez, notamment, voir que notre association n'innove pas en organisant diverses animations ; nombreux étaient les évènements festifs et les spectacles culturels.
-
Les fêtes traditionnelles : les feux d'artifice et la
fête de Breteuil, en particulier,
- Les fêtes et les loisirs nautiques : comptes
rendus de fêtes et arrêté municipal de 1929 sur le
port de maillots pour la baignade et le canotage,
-
1928-1953 : 25 ans d'animation et de divertissements culturels :
annonces et comptes rendus de manifestations organisées par Jean
Barbier et le Cercle Lyrique de Villennes,
- Le cyclisme : compétitions à
Villennes,
- Le téléphone : plaintes et
construction de nouvelles lignes en 1909 et 1924.
27 août 2013
Compléments
Après l'inauguration de la nouvelle halle du marché, nous avons complété la rubrique Les commerces/le marché.
Vos activités ont été très variées pendant vos vacances ; de même, les rubriques qui ont reçu des compléments sont très diverses :
- Les
restaurants du bord de la Seine,
- Le
château de Villennes,
- Les
célébrités d'antan (finances)/Jean Baptiste
Paradis,
- La rue du Pont,
- Les
moulins,
- La
geôle,
- L'enseignement,
- Le
château de Migneaux,
- Le
domaine de Fauveau.
Nouvelles rubriques
Célébrités d'antan (négociants en joaillerie)/Joseph Halphen
Alors que les résultats des recherches du C.E.H.A., sur lesquels est basée notre rubrique sur le domaine de Migneaux, mentionnaient que le négociant-joaillier Joseph Halphen avait été locataire, nous avons trouvé qu'il en avait été propriétaire de 1864 à 1876 et qu'il avait acquis la propriété de Fauveau voisine avant de revendre l'ensemble l'année suivante. Nous avons donc consacré une notice biographique. à cet héritier d'une dynastie de joalliers, qui a amplifié la fortune léguée par son grand-père et son père, avant de la perdre ...
La chaleur de cet été n'a, heureusement, pas causé d'incendies importants en France. Nous avons, néanmoins, créé une rubrique sur les incendies et les pompiers de Villennes grâce aux informations trouvées dans la presse régionale ancienne.
5 juin 2013
Plusieurs rubriques ont été, à nouveau, complétées avec le contenu de la causerie sur l'avenue du Président.
Compléments
Nous avons ajouté deux villas construites dans l'ancienne prairie de la Nourrée, La Feuilleraie et Beau Séjour, ainsi qu'une maison de l'ancien lieu-dit "Le Clos du Pape", Clairefontaine.
Célébrités d'antan (médecine) : les médecins de l'avenue du Président
Deux fiches biographiques ont été complétées :
-
Emile Magitot, l'un des premiers médecins dentistes (second
propriétaire de la Villa de la Nourrée).
- Edouard
Binet, médecin en chef des Quinze-Vingts (l'un des
propriétaires de la villa Clairefontaine).
Deux autres ont été ajoutées :
- Henri Redon, médecin militaire (second
propriétaire de la Villa de la Nourrée)
- Fernand Hanon, gynécologue, l'un des "accoucheurs"
de la France Libre (l'un des propriétaires de la villa Clairefontaine).
Célébrités d'antan (Beaux-Arts) : Henri Bernardeau, avocat et artiste-peintre
Nous avons placé dans cette rubrique l'un des propriétaires de la villa Clairefontaine, qui avait des talents de peintre alors qu'il était avocat.
Nouvelle rubrique
Célébrités d'antan (arts graphiques)
Cette rubrique accueille deux anciens propriétaires des villas voisines Beau Séjour et La Feuilleraie :
- Henri Renoir, graveur sur médailles, le
frère aîné du peintre Auguste Renoir,
- Sam Levin, photographe des stars, qui a notamment
réalisé des images des tournages du cinéaste Jean
Renoir (fils d'Auguste).
30 avril 2013
Nous continuons à enrichir le site avec le contenu de la causerie sur l'avenue du Président.
Compléments
Nous avons ajouté l'historique de deux maisons de l'ancien lieu-dit "Le Clos du Pape" :
- La
Maison fleurie, qui a été fortement remaniée
depuis sa construction sur un terrain vendu par la veuve de Jean
Baptiste Paradis, propriétaire du château,
- L'Orangerie
/ Les Bambins, constituant une partie d'un très ancien
bâtiment situé en face du potager du château.
Célébrités d'antan : Georges Jauret, journaliste et écrivain
Georges Jauret a vécu dans la Maison fleurie, où
il est décédé. Il était l'époux d'une
fleuriste, qui a vraisemblablement fait bâtir cette maison.
Journaliste, il a notamment collaboré avec deux journaux, dont
Jean Baptiste Paradis était l'un des rédacteurs. Il a
écrit deux livres, l'un sur l'expédition du Mexique,
l'autre redevenu d'actualité en 2013 : Les coulisses des
conclaves.
5 avril 2013
Suite à la récente causerie sur l'avenue du Président, une nouvelle rubrique a été ouverte et deux autres ont été complétées.
Nouvelle rubrique
Nous commençons cette rubrique sur la voie devenue l'avenue
Georges Clemenceau et l'avenue du Général de Gaulle par :
- la description des grands terrains qui bordaient l'avenue Clemenceau
et qui ont été lotis : l'ancien potager du château,
la prairie de la Nourrée et le lieu-dit "Le Clos du Pape",
- l'une des villas construites sur l'un des lots de la prairie de la
Nourrée : la villa Bon Accueil.
Compléments
Les villas de Villennes / Les architectes
Les notices biographique de trois architectes ont été
ajoutées :
- Jules Suffit, qui bâtit la villa de la Nourrée,
devenue l'Hostellerie de la Nourrée puis remplacée par la
Résidence Gallieni-Clemenceau,
- Emile Hurtré, l'architecte "art nouveau" de la villa Bon
accueil, surtout connu pour sa réalisation de la
salle à manger de l'hôtel Langham à
Paris,
- Lucien Desnues, qui fut proprétaire de la villa L'Orangerie
(Les Bambins, de nos jours) et construisit le
presbytère de Villennes vers 1906. Il eut d'importantes
responsabilités dans l'organisation des Jeux Olympiques de Paris
en 1924 et de l'Exposition coloniale internationale de Paris en 1931.
Célébrités d'antan : Henri Guillaume, hôtelier parisien
Il s'agit du propriétaire de l'hôtel Langham et de la villa Bon Accueil, qui la fit bâtir par Emile Hurtré.
24 février 2013
Compléments
Le 21 juin, une famille de Breteuil fête joyeusement un mariage. Nicolas Lamirault, vigneron, et son épouse Arvoye marient leur fils Philippe Ambroise avec Marguerite, fille de Jean Baptiste Delaunay, greffier tabellion de la justice de Villennes. Le soir même, le frère du marié, Pierre Lamirault, également vigneron, sera emmené dans la prison de la prévôté. Que s'était-il passé ? A l'issue du repas de noces, le vin de Villennes avait eu pour effet de le conduire à de très violents excès envers des membres de sa famille.
4 janvier 2013
Nouvelle rubrique
Célébrités d'antan : Les célébrités de Physiopolis
En complément des rubriques sur le Domaine de Physiopolis et sur ses fondateurs, André et Gaston Durville, qui ont récemment fait l'objet de nombreux compléments, nous présentons des personnalités d'autrefois, en particulier certaines qui y ont connu leur heure de gloire, ainsi que des résidents d'aujourd'hui qui nous ont permis de relater leur histoire personnelle.
Ces personnes, de diverses époques, ont eu ou ont des
activités très différentes :
- La famille de Giaffieri : Paul Louis Victor de
Giafferri, historien du costume, et Vincent de Moro-Giafferri, avocat et
homme politique,
- Yves Brieux, Maître de la danse, et sa partenaire
Geneviève Ione,
- La famille Gerbaud : Colette, professeur
de littérature nord-américaine et pianiste amateur,
et Pierre, violoncelliste,
- Patrick Rambaud, écrivain lauréat du prix Goncourt,
- Bruno Polius et Thierry Sellier, anciens jeunes choristes, vedettes de
la chanson.
29 novembre 2012
Compléments
La justice : La prévôté / Insultes et coups
Nous ouvrons un nouveau chapitre des affaires traitées par la prévôté de Villennes, la police et la justice du dernier seigneur, peu avant la Révolution. Les procès-verbaux de plaintes pour jurements, parfois suivis de coups, ne concernent pas tous des affaires importantes mais ils nous font connaître quelques villageois et des cas de litiges et d'affrontements.
Querelle dans un cabaret : d'une délation à une affaire de chapeaux
Benjamin Giguet, un journalier de 20 ans, avait dénoncé deux braconniers qui se sont pris à lui dans le cabaret du vigneron Philippe Martin, le qualifiant d'espion de la paroisse ; ils le terrassèrent, lui portant de nombreux coups. Il s'en suivit une cocasse affaire d'échange de chapeaux, prétexte à la suite de la querelle. Plusieurs personnes, dont le cabaretier et des clients, furent assignées pour apporter leur témoignage. Nous rencontrons également deux frères bourguignons qui, pratiquant le métier de taupier, étaient logés chez la mère du plaignant, avec lui.
Celui-ci deviendra bientôt garde des bois, pêches et rivierre du seigneur, comme son père, garde-chasse 20 ans plus tôt.
Patrimoine / propriétés privées : Le domaine de Physiopolis
La rubrique a été, à nouveau, complétée au moyen des nombreuses informations et des images, rassemblées pour la causerie des Journées du Patrimoine de septembre 2012. Cette seconde série de compléments concerne la période de 1933 à nos jours. Nous remercions très sincèrement toutes les personnes qui nous ont permis de mieux faire connaître l'histoire de l'ancienne cité naturiste.
Nous y avons également placé les souvenirs d'une ancienne résidente, qui nous a récemment contactés, en les illustrant de photos prises par ses parents ; après avoir acquis un bungalow en fibro-ciment, ils avaient fait construire un chalet où ils résidaient souvent, particulièrement pendant la Seconde Guerre mondiale.
Un lien a été placé vers la page Facebook de David Lorenté, résident de Physiopolis, qui a organisé avec nous la visite du 15 septembre dernier. On peut, notamment, y voir depuis peu les séquences tournées à Physiopolis du film américain This nude world, réalisé en 1933 ; celles-ci commencent par un exposé de Gaston Durville (en anglais avec un accent proche de celui de Maurice Chevalier).
Nous avons introduit une partie sur les tombes remarquables, ayant pu poursuivre l'enquête, commencée le mois dernier, sur le tombeau de la famille Bouyge. En effet, des Villennois qui ont connu M. et Mme Bouyge, lorsqu'ils étaient leurs voisins, nous ont appris que leur maison, située rue des Iselles, était l'ancienne maison de gardien de la villa de la rue de Poissy située en face. Ils l'avaient baptisée Villa Renée, ce prénom étant celui de leur fille trop tôt disparue.
3 novembre 2012
Compléments
La justice : La prévôté / Vols à l'église de Villennes et chez les représentants de l'Eglise
Après les vols de 1782 et 1783, la série continue avec deux autres effractions en 1785 :
- cambriolage sur les soeurs de la Charité : le procès-verbal nous donne des informations sur les deux religieuses qui tenaient un pensionnat pour des jeunes filles du village, dans la maison devenue la maison commune après la Révolution, voisine de l'auditoire de la prévôté. Un gobelet et des timbales d'argent ont été volés ainsi que de la monnaie contenue dans une boîte de bergamotte. L'une des jeunes pensionnaires, réveillée par l'un des cambrioleurs, l'a aperçu.
- tentative de vol à l'église : l'effraction a causé divers dégâts (carreaux de la fenêtre de la sacristie cassés, barreau de fer descellé et brisé, armoires forcées, ...) ; toutefois, rien n'a été volé : les cambrioleurs ne devaient pas savoir que les objets précieux avaient été volés trois ans plus tôt ...
Patrimoine / propriétés privées : Le domaine de Physiopolis
Cette rubrique a été restructurée et très largement complétée au moyen des informations et des images qui ont été rassemblées pour la causerie des Journées du Patrimoine de septembre 2012 et des photos qui ont été prises lors de sa préparation. La première série de compléments porte sur l'île de Platais et sur les premières années (de 1928 à 1932) de la cité naturiste.
Les souvenirs de Pierre Audebert, proche de Gaston et André Durville, sont illustrés de photographies issues de leurs ouvrages, de leurs revues et de la collection de la famille d'anciens résidents. La mémorable Fête du soleil de 1932 est relatée par des articles de journaux et par des photos ; vous pouvez écouter une interprétation de l'hymne de Physiopolis, qui fut composé à cette occasion.
Après des informations inédites sur la conception et la fabrication des "tentes fixes" en fibro-ciment, un diaporama présente les bungalows qui subsistent de nos jours.
11 octobre 2012
Compléments
La justice : La prévôté / Vols à l'église de Villennes et chez les représentants de l'Eglise
Après le cambriolage à l'église en 1782, nous continuons par celui qui a eu lieu au presbytère deux ans plus tard. Toutes les économies du curé, cachées dans son armoire, avaient disparu : cette somme de 4 400 livres correspondait au salaire d'un manouvrier pendant 44 ans ou à 4 années de la solde d'un sous-lieutenant ... Quels étaient les revenus du curé de Villennes ? Ceux des curés de campagne variaient de 300 livres à 6 000 livres par an.
Le procès-verbal nous donne des informations sur la maison presbytérale et son jardin, séparé de la Seine par le mur que les cambrioleurs avaient franchi.
Célébrités d'antan / médecine : Gaston et André Durville, médecins naturistes
Cette nouvelle rubrique reprend les informations sur les deux frères fondateurs de Physiopolis, qui ont fait l'objet d'une partie de la causerie des Journées du Patrimoine, le 15 septembre 2012. Elle comprend de nombreuses illustrations issues de leurs diverses publications.
L'évocation des activités de leur père Hector et de leur frère Henri, qui ont été leurs éditeurs-imprimeurs, est utile pour retracer leur parcours ; nos recherches apportent, notamment, un élément nouveau sur l'origine de la doctrine des frères Durville : la Société Naturiste et sa première réalisation, Physiopolis, auraient un lien avec l'Ordre eudiaque, société à vocation initiatique créée par Hector Durville et animée ensuite par Henri.
24 août 2012
Compléments
La justice : La prévôté / Vols à l'église de Villennes et chez les représentants de l'Eglise
En trois ans, quatre vols ont été déclarés et ont fait l'objet d'une enquête. Nous commençons par un cambriolage à l'église en 1782 ; les détails nous sont connus par la déposition faite par le curé Denis Soudé auprès du procureur postulant Louis Eustache Martin, faisant office de juge en l'absence du prévôt. Les voleurs se sont introduits par une croisée (fenêtre) dont ils ont descellé un barreau et ont dérobé divers objets du culte dans la sacristie.
Célébrités d'antan : Edouard Comboul (1875-1902), ingénieur des mines, chercheur d'or
Alors que son domicile était, à Villennes, la Villa de l'Orangerie que lui louait l'architecte Lucien Desnues (devenue Les Bambins, avenue Georges Clemenceau), son tombeau se trouve à Addis-Alem en Ethiopie. Menelick II, le Negus, empereur d'Abyssinie, lui a fait des funérailles grandioses. En effet, Edouard Comboul avait joué un rôle important dans la mise en valeur des richesses du sous-sol de ce pays ; il était ingénieur des mines d'or de Wallaga. Auparavant, il avait contribué à la découverte et à l'exploitation de gisements aurifères en Guyane française et dans le Valais en Helvétie. C'est grâce à l'or et à des pièces d'argent trouvés dans ses bagages, rapportés par un ami explorateur, que ses nombreuses dettes purent être payées ...
19 mai 2012
Compléments
La justice : La prévôté / Les officiers et auxiliaires de justice
La description des différentes fonctions de la prévôté et des personnes qui les ont occupées a été restructurée et complétée.
La justice : La prévôté / Le suicide du rôtisseur du château de Villennes, en 1779
Le Seigneur venait d'arriver de Paris avec tout le personnel de sa maison. Le rôtisseur qui n'avait pas dîné à l'office avec ses collègues fut trouvé mort dans sa chambre le lendemain. Son état et l'examen par le chirurgien ne laissèrent pas de doute sur l'origine de son décès. Quelle était la raison de l'inquiétude qui le porta à se défaire ? Les témoignages du maître d'hôtel et du chef de cuisine révélèrent que le rôtisseur avait souvent l'air évaporé et l'esprit troublé au point que son service en avait souffert plusieurs fois. La raison semblait être qu'il avait prêté de l'argent, sans reconnaissance de dette, à une femme dont il s'était enmouraché : l'épouse du précédent chirurgien d'Orgeval, détenu au Château de Bicêtre pour cause de follÿe.
Le rôtisseur Piquet ne fut pas enseveli dans le cimetière de l'église mais dans un coin de terre près de celui-ci.
20 avril 2012
Compléments
La police : messiers et gardes-chasse
Avant la Révolution, il n'y avait pas de garde champêtre mais le seigneur avait à son service des messiers, chargés de surveiller les champs, les vignes, les prés et les vergers ainsi que des gardes-chasse. Son garde des eaux et forêts avait la fonction de garde-pêche. Nous avons résumé leurs rapports, entre 1784 et 1789. Ils nous donnent de nombreuses informations sur les délits et les incivilités, qui étaient relevés par ces "policiers", ainsi que sur leurs auteurs ; parmi eux, sans que nous en soyons étonnés, il y avait plus de vignerons que de laboureurs mais également des pêcheurs, des herbagers, un marchand carrier, ... Si certains noms de lieux nous sont encore bien connus, ce document nous en livre d'autres.
Sous l'ancien régime, l'exercice de la justice par les seigneurs était le résultat d'une concession royale. Leurs officiers de justice étaient les baillis, prévôts, lieutenants et procureurs fiscaux. Les archives de la prévôté de Villennes, conservées aux Archives Départementales des Yvelines, nous font connaître certains des responsables de cette prévôté, chatellenie et gruerie de Villennes et dépendances ainsi que des affaires qu'ils eurent à traiter.
Nous commençons par trois sujets :
- le serment d'un garde-chasse nommé geolier et concierge des
prisons des prévôtés de Villennes, Orgeval et
Médan,
- l'emprisonnement d'un jardinier de Bures qui y avait assassiné
un journalier,
- quelques informations sur le bailli : Jean André Arsandaux, qui
continua sa carrière d'homme de loi après la
Révolution.
Les rapports du garde des eaux des forêts du seigneur de Villennes, concernant des personnes pratiquant illégalement la pêche sur le bras de la Seine lui appartenant, mentionnent deux techniques alors utilisées : la trouble et le gille. Nous vous livrons les résultats de nos recherches sur ces deux types de filets.
27 mars 2012
Compléments
Jean Stern a été propriétaire de la villa Le Cloître après le décès de sa mère Ernesta, dite Maria Star. Il n'y a vraisemblablement pas habité mais il devait y organiser des réceptions.
Il est surtout connu comme éleveur de chevaux et turfiste. Au début du XXe siècle il pratiquait l'escrime, sport qu'il finançait ; il a fait partie de l'équipe française d'épée qui a été championne au Jeux Olympiques de Londres en 1908. Cette compétence lui a permis de gagner le duel qui l'a opposé à un arrière-petit-fils de d'Artagnan, Robert de Montesquiou ; dans un de ses écrits, celui-ci avait traité Maria Star d'étoile de moyenne grandeur.
Il avait hérité d'elle un don pour l'écriture, qu'il mit à profit dans des ?uvres théâtrales, des ouvrages historiques en relation avec les sports hippiques et des biographies.
27 février 2012
Compléments
Célébrités d'antan : Léon Frapié (1863-1949), romancier réaliste
Instituteur et romancier, après avoir collaboré à des revues et à des quotidiens, il fut l'auteur de quelques romans. Il connut le succès avec La Maternelle, qui reçut le prix Goncourt en 1904 : c'est une peinture émouvante et désabusée des m?urs enfantines dans une école des quartiers pauvres.
Son épouse, institutrice, le conduisit à Villennes, lorsqu'elle fut nommé dans notre village. Il habitait avec elle dans l'école des filles. Il rencontra, à Médan, Emile Zola, qui l'encouragea à écrire des romans.
Un vrai roman-feuilleton ! En 1929, Clément Passal a été victime de la machination qu'il avait organisée pour faire à nouveau parler de lui. Le journal Le Matin, auquel l'escroc avait adressé ses écrits imaginaires, a relaté la préparation de sa dernière mystification dans la villa "Les Pavots" de l'avenue du Maréchal Foch et sa fin tragique dans le bois de Verneuil.
27 décembre 2011
Compléments
Alexandre Bure, comte de Labenne
En complément de notre article de la dernière Lettre de Villennes Jean Baptiste Paradis et sa fille Marie Henriette, les derniers châtelains de Villennes, ces deux rubriques ont été complétées par les informations et les documents résultant de nos récentes recherches (le projet d'annexe du collège Chaptal, le dernier emploi et les spéculations fatales de Jean Baptiste Paradis, le dernier épisode de la vie de Marie Henriette Paradis et ses portraits, ...).
En avance sur la période la plus favorable aux sports nautiques sur la Seine, nous relatons un faits divers de mai 1917. Trois cadavres y furent retrouvés en aval de Villennes : une fillette, un petit garçon puis une femme. Quelques jours plus tôt, il avaient passé la journée en famille à Villennes, où ils avaient fait une partie de canotage avec le père des enfants, l'époux de la femme, l'adjudant Robert Milangois.
Le 5 décembre suivant, celui-ci, condamné par un Conseil de guerre, fût exécuté ...
La rue de Poissy : la villa Vallée des Roses
Un diaporama de photos anciennes de la villa et de ses dépendances a été ajouté.
1er décembre 2011
Compléments
Les
célébrités d'antan (mode et luxe) :
Jeanne Paquin, première femme de la haute couture
Nous continuons la publication de biographies de personnalités du Bois des Falaises, largement complétées grâce à la lecture de la presse de leur époque.
C'est une famille de la haute couture qui fit bâtir les premières villas et y résida : Jeanne Paquin et son demi demi-frère Henri Joire, qui fut l'un de ses proches collaborateurs ainsi que sa soeur et son beau-frère. Une amie, également couturière, Blanche de Mendiri, s'était jointe à eux.
Au moyen d'images et de documents divers, nous reconstituons la vie et la carrière de Jeanne Paquin et nous illustrons son style.
Les
célébrités d'antan (mode et luxe) :
Constant Hellstern, chausseur des célébrités
Les robes Paquin pouvaient être portées avec des chaussures Hellstern. Juste avant la rubrique précédente, nous avons ajouté quelques photographies de souliers créés et produits par Constant Hellstern.
Nous avons, également, reproduit le "résumé de ses services", qu'il a adressé à la Grande Chancellerie de la Légion d'honneur, aprés sa nomination en 1908.
Faits divers : Les voleurs d'objets d'art se cachaient à Villennes
Les cambriolages que nous relatons eurent lieu en 1912, non pas dans notre village mais dans les musées de Nevers et de Reims ainsi que dans des églises, après les méfaits de leurs auteurs en Belgique, en Hollande et en Allemagne. Par contre, c'est dans l'hôtel-restaurant Aux Marronniers (actuellement Auberge de l'Ile de France) puis dans la villa Les Pavots, située en face, que le chef de la bande se cachait avec sa maîtresse. René Ferrand, fils d'un directeur de journal, ancien député, avait de très bonnes connaissances en antiquités, après avoir travaillé pour un antiquaire de Cologne. La femme fut arrêtée dans la villa. C'est en vain qu'un des inspecteurs y coucha dans le lit de Ferrand, dans l'espoir qu'il reviendrait chercher ses trésors volés. Il s'était enfui et tapi dans la carrière du Bois des Falaises.
Les deux cambrioleurs et un complice furent jugés pour leur vol, au musée de Reims, d'une boîte à mouches offerte à cette ville par Louis XVI le jour de son sacre. René Ferrand, qui avait réussi à échapper à toutes les poursuites, fut condamné par contumace à la peine de vingt années de travaux forcés.
2 novembre 2011
Compléments
Les célébrités d'antan (sports) : Oscar Egg, cycliste puis industriel
Après des révélations sur le passage du Tour de France à Villennes et sur une femme de lettres du Bois des Falaises, nous complétons les informations sur un coureur cycliste qui y a également résidé. Ce célèbre citoyen suisse, cycliste professionnel de 1912 à 1926, devint entrepreneur en équipements de cyclisme.
Il battit trois fois le record de l'heure, gagna deux étapes du Tour de France, Paris-Tours, Milan-Turin, plusieurs records du monde, des six jours et d'innombrables courses sur piste et derrière moto. Ensuite, il mit au point, fabriqua et commercialisa plusieurs équipement innovants : un bidon léger, une pédale de piste et un dérailleur. Pour rouler plus rapidement, il conçut un "vélo-fusée" ; il fut, en 1913, un pionnier du vélo en position de pédalage horizontal.
Les restaurants du Bords de Seine : Les Peupliers / La Pergola
La lecture de la presse des années 1920 nous a appris que deux propriétaires de ces restaurants voisins étaient également des coureurs cyclistes assez connus à leur époque.
- Léon Didier fut cycliste professionnel de 1910 à 1922. Il fut le second, en demi-fond du Championnat national en 1920 et premier l'année suivante. Il fut l'entraîneur d'autres coureurs avant de devenir restaurateur. Un journaliste du Gaulois, relatant un repas chez lui, qualifiait Villennes de Petit Deauville.
- Louis Jallabert, bien avant son homonyme Laurent Jalabert (avec un seul l), a été un coureur et un entraîneur cycliste. Il s'est, en particulier, illustré en conduisant un engin appelé quadruplette, qui un vélo tandem multiplié par deux ! Nous avons, également, fait connaissance de son épouse allemande, dont le père lui donna comme dot son poids d'argent ...
L'ancienne route de Médan : la villa Val Sinet
Nous avons complété l'histoire de cette villa de la famille des peintres Sinet par celle d'un propriétaire ultérieur, qui posséda également d'autres maisons et terrains à Villennes : Paul Antier, paysan ministre. Agriculteur de Haute Loire, il fut député de ce département entre 1936 et 1958. Après une évasion aventureuse à travers l'Afrique, il rallia les Forces Françaises Libres en septembre 1940. Dans les années 1950, il devint Secrétaire d'Etat à l'Agriculture puis ministre de l'Agriculture et à la Marine marchande.
Nous avons ajouté des informations, illustrées de photographies, sur le "vitrail" qui fut réalisé par une artiste villennoise en 2007 et alors installé à l'occasion du millénaire de la paroisse de Villennes.
Le lien vers le site de l'association Sauvegarde et Animation du Patrimoine Sacré Poissy Villennes Médan est, à nouveau, actif ; il présente notamment, avec des commentaires audio, les Trésors de l'église St Nicolas.
8 octobre 2011
Nouvelles rubriques
Cette rubrique remplace la partie consacrée à Ernesta Hierschel de Minerbi - Maria Star d'une rubrique sur les célébrités d'antan. Très largement complétée, elle révèle, grâce à de nombreux textes d'elle et sur elle, extraits de la presse de son époque, de nombreux aspects jusqu'à présents mystérieux ou peu connus sur son existence, sa personnalité, son oeuvre, sa famille et ses nombreuses relations.
Célébrités d'antan : la médecine
Nous avons regroupé, en les complétant, les notices biographiques de médecins qui résidaient à Villennes : deux stomatologues, Emile Magitot et Anthelme Combe. Le premier, qui eut Napoléon III et Guy de Maupassant parmi ses patients, fit construire la Villa de la Nourrée, devenue ensuite l'Hostellerie de la Nourrée (à l'emplacement de la résidence Gallieni-Clemenceau) ; il fit connaître Villennes au second, qui avait été son élève. Celui-ci acquit la villa voisine La Collinette de l'actuelle rue Gallieni.
Nous avons ajouté une notice sur Edouard Binet, né à Villennes, issu d'une famille bien connue, possédant de nombreuses propriétés, notamment le Bois des Falaises. Ce médecin, dont la thèse avait été consacrée au rôle de la syphilis dans la cécité, était médecin en chef de l'hôpital des Quinze-Vingts.
Compléments
M. Châlon, ancien avocat à la Cour de Paris, prenait, chaque soir, un train de la Compagnie Ouest-Etat à la gare Saint-Lazare pour rejoindre son domicile de Villennes. Au cours de l'été 1911, son train prit cinq, puis dix ou quinze minutes de retard, parfois plus. Un soir, M. Châlon le manqua car il était parti à l'heure. Il s'énerva fortement ; une petite émeute s'ensuivit sur les quais de la gare parisienne. Le voyageur villennois fut condamné à quinze jours de prison.
Nous avons ajouté des informations sur Maxime et Romain Livera, l'ingénieur architecte et l'entrepreneur qui construisirent les deux villas d'Ernesta Stern : Le Cloître et celle, située en face, devenue Brooklands.
Un nouveau diaporama permet de visiter la première.
28 août 2011
Nouvelles rubriques
Villennes était une destination recommandée par divers guides touristiques des siècles derniers. Nous avons reproduit les textes de quelques uns, décrivant des visites de notre village, ainsi que des descriptions géographiques, économiques et historiques.
La Société Nautique de Villennes, qui a existé jusqu'à la Deuxième Guerre mondiale, était très dynamique dans les années 1910 à 1930. A travers des extraits de la presse de cette époque, nous relatons les activités de yachting et de motonautisme qu'elle organisait ainsi que diverses autres compétitions nautiques, qui eurent lieu sur la Seine dans notre commune, dès le début du siècle. Les canots automobiles sont partis sur la Méditerranée et ailleurs. Ils sont toutefois, revenus en ce lieu, sous une forme allégée mais plus rapide et bruyante ...
Cette nouvelle rubrique, qui sera complétée
à propos de compétitions locales et par l'évocation
de plusieurs champions cyclistes qui ont résidé à
Villennes, est ouverte avec le Tour de France :
- en 1917 : un article du journal Le Matin sur la
dernière étape relate un étonnant spectacle, ses
bruits et ses odeurs, au passage à niveau entre Villennes et
Poissy ; il était signé Colette (Willy).
- en 1975 : une photo de notre ami Georges Parot témoigne de la
traversée de Villennes au cours de la troisième
étape Amiens-Versailles.
Célébrités d'antan : les financiers
Cette rubrique complète les informations sur
deux châtelains :
- Jacques Edmond Archdeacon, agent de change, propriétaire du
château de Migneaux,
- Jean Baptiste Paradis, journaliste financier, propriétaire du
château de Villennes.
La dernière fonction de ce dernier était la direction du journal Le Moniteur des tirages financiers. Il est mort ruiné ; peut-être s'est-il suicidé à Naples : il fut victime, comme d'autres spéculateurs, des manoeuvres frauduleuses de dirigeants de la Compagnie américaine Transcontinental Memphis el Paso and Pacific Rail Road, qui construisait une partie du chemin de fer interocéanique.
Compléments
Cette rubrique, qui reste celle de notre site Internet la plus consultée, a été complétée : deux paragraphes, "Physiopolis dans la presse" et "Physiopolis au cinéma", reproduisent divers articles de journaux des années 1930 ; de nouvelles informations ont été ajoutées sur les les frères Gaston et André Durville, médecins promoteurs du naturisme, fondateurs de Physiopolis puis d'Héliopolis.
Nous reproduisons la description et les plans de la vacherie du château, publiés en 1873 par le Journal de menuiserie.
Un projet qui n'a pas été réalisé aurait pu empêcher la démolition du château : la ville de Paris devait l'acquérir, en 1889, pour en faire une annexe du collège Chaptal.
Diverses rubriques :
- Villennes au Moyen-Age : Eudes l'Archevêque de Maule, qui possédait des terres à Villaines, était garde de de la Châtellenie de Poissy ; son fief dans le comté de Monffort se trouvait près de Neauphle-le-Château.
- L'église Saint-Nicolas : description, publiée dans le guide touristique du Syndicat d'Initiative de Poissy et ses environs, édité en 1927.
- La villa et l'hostellerie de la Nourrée : photo de plusieurs acteurs de cinéma sur les marches de la piscine, en 1959.
- Les seigneurs : des informations sur les ouvrages de Nicolas Bourdin, la reproduction d'une épitre que lui dédia François de Bois-Robert et d'un texte sur Jean Brinon et ses amis, les poètes de la Pléiade, issu d'un ouvrage de Pierre de Nolhac, publié en 1921, ainsi que d'un article sur ce livre.
- Le château de Migneaux : évocation de Bernard de Mandrot (1848-1920), historien et archiviste paléographe, dont le château a été la résidence secondaire, après celle de sa mère, et un article sur le cambriolage qui y a été perpétré, en 1926, par une bande d'anarchistes italiens.
- La Poste : deux articles du journal Le Matin relatant, en 1926, les problèmes posés par le fait que le bureau télégraphique de Villennes n'avait plus de porteur de dépêches. M. Franck, ayant télégraphié chez lui qu'on ne l'attendit pas le soir, sa dépêche ne fut distribuée que le lendemain matin avec le courrier. L'ancien maire, M. Laumonier, ayant reçu une dépêche envoyée la veille, a lancé un appel à candidature.
- La ferme de Marolles : deux entrefilets dans des journaux de septembre 1932 concernant un important incendie qui a détruit un hangar empli de céréales, de batteuses et de voitures.
- Fêtes et loisirs nautiques : récit d'une fête nocturne, organisée sur la Seine en septembre 1921 ; le journaliste de la Revue hebdomaire n'a toutefois pas aimé "qu'un canot, surchargé d'un paon en bois, découpé et ruisselant de lumière blanche, déployait une telle luminosité que tout le charme obscur de la nuit s'évanouissait".
- Le Sophora : court article du journal Le Tintamarre de 1883.
- Les maires : une curieuse information publiée, en 1908, par la revue La vie à la campagne, transmise par le maire de Villennes : il avait récolté, dans son potager, une pomme de terre en forme de c?ur.
- Le château d'Acqueville : complément sur les obsèques de Mme de Lassuchette en 1916 (journal Le Gaulois).
- Le chemin de la Nourrée : un arrêté du Conseil d'Etat de 1904 montrant que les autorités judiciaires faisaient alors respecter la servitude de marchepied, ce droit de passage en bordure de la Seine.
13 juin 2011
Compléments
L'ancienne route de Médan : les villas La Collinette et La Bicochette
Dans la rubrique sur la rue Gallieni et la rue du
Maréchal Leclerc, nous avons ajouté l'histoire de deux
villas voisines et de certains de leurs anciens propriétaires :
- la première, la plus ancienne, bâtie sur des terres
agricoles et une vigne devenues un beau parc, a été
habitée par une famille d'arquebusiers belges et un
médecin stomatologue,
- la seconde, dont l'architecture et la décoration sont
assez remarquables, a eu pour second propriétaire un fabricant de
fleurs artificielles. Sa fille était l'épouse du
médecin voisin, ancien élève d'Emile Magitot,
propriétaire de la Villa de la Nourrée ...
Villennes au Moyen-Age : vente de terres du roi Philippe Le Bel à Odon, dit Larchevesque de Maule
Ce document de 1313, dont nous publions la transciption et la traduction, est relatif à la vente de terres villennoises, confisquées de Guillaume et Pierre, dits les couars de Villennes, au profit des religieuses de Poissy ; il nous fait connaître diverses familles seigneuriales de la région qui les avaient possédées. Certaines de ces terres se trouvaient en des lieux dont les noms sont parvenus jusqu'à nous : Marolles, Breteuil, Les Graviers, Bello loco (Beaulieu).
13 avril 2011
Compléments
Dans la rubrique sur la rue Gallieni et la rue du Maréchal Leclerc, nous avons ajouté l'histoire de la villa Le Manoir et de quelques uns de ses anciens propriétaires :
- Léon Francq, qui l'a fait bâtir,
auquel a succédé Lucien Strauss,
- Jean-Pierre et Colette Peyraud, à la fin du XXème
siècle.
Les architectes des villas : Louis Granet
L'architecte de la villa Le Manoir n'est pas connu, contrairement à celui qui a bâti, en 1901, la maison du jardinier et du concierge ainsi que d'autres dépendances.
Les paysagistes et jardiniers : Edouard Redont
Cet architecte-paysagiste, qui a aménagé le jardin de la villa Le Manoir, est surtout connu à Villennes pour avoir la créé lors du lotissement de l'île, son "square" central, devenu le rond-point du Lion.
Originaire d'une ville proche de Reims, il y travailla pour des propriétaires de grandes maisons de champagne, avant d'aménager de nombreux parcs et jardins en France et à l'étranger (Turquie, Roumanie). Edouard Redont fut l'un des fondateurs de la Société Française des Urbanistes.
10 mars 2011
Nouvelle rubrique
L'entraînement de sportifs à Villennes
Dans cette nouvelle rubrique sur les sportifs qui sont venus dans notre village pour s'y entraîner et s'y détendre, nous publions un reportage photographique de 1912, conservé par la Bibliothèque nationale de France, sur la visite du boxeur américain Billy Papke (1886-1936).
Nous y évoquons, également, un adepte d'une forme particulière de la "Petite reine" : René Savard (1898-1975), hydrocycliste qui s'est entraîné en 1927 sur la Seine à Villennes, avant de traverser la Manche. Nous rappelons les inventions des vélocipèdes nautiques qui avaient précédé sa Nautilette.
Complément
Dans cette rubrique sur la rue Gallieni et la rue du Maréchal Leclerc, nous avons ajouté l'histoire de la villa La Sapinière et de ses anciens propriétaires :
- ceux déjà connus : l'énigmatique Madame Prévost, le constructeur de tramways à vapeur Léon Francq et l'armateur Marcel Capelle,
- un autre que nous venons d'identifier : Eugène Varaut, dirigeant d'une société de mercerie en gros, qui vendait ses produits sous la marque "Au Coq".
16 février 2011
Nouvelle rubrique
Nous reproduisons et commentons trois actes de
donation trouvés aux Archives Départementales des
Yvelines. Déchiffrés, transcrits et traduits du latin ou
du français médiéval par Jean Diez, ils nous
donnent des informations intéressantes relatives à notre
village au Moyen-Age :
- sur l'origine vraisemblable de son nom,
- sur la présence à Villennes avant les premiers
seigneurs connus, de familles très pieuses possédant des
seigneuries ou des biens dans la région (Poissy, Galluis,
Villepreux, Guyancourt, ...), dont plusieurs avaient un lien avec
Neauphles,
- sur l'importance du vignoble de Villennes, déjà,
à cette époque.
Ces documents sont les suivants :
- Donation par Simon de Poissy d'une vigne de Villennes à
l'abbaye d'Abbecourt (1220),
- Don par Pierre de la Queue d'un dixième de la production
d'une vigne de Villennes à l'église d'Abbecourt (1238),
- Donation par Jean de Villepreux et Jeanne de Guyancourt d'une
rente, en partie sur des terres de Villaines, à l'abbaye des
Vaux de Cernay (1302).
1er janvier 2011
Compléments
? Les célébrités d'antan (sports) : René Ben Chemoul, le Tigre de la lutte
Avant que l'année 2010 se termine, nous avons rendu hommage à un Villennois, décédé en septembre : René Ben Chemoul, célèbre catcheur des années 1950-1960, a passé la dernière partie de sa vie au Bois des Falaises. Nous reproduisons des extraits de plusieurs articles et des témoignages, accompagnés de photographies et d'une séquence vidéo, qui nous font connaître cet athlète. Champion du monde de catch, il était considéré par les les connaisseurs de ce sport-spectacle comme le meilleur poids moyen de la lutte professionnelle.
L'un de ses voisins et amis témoigne que, malgré sa notoriété, il était resté modeste et avait conservé une grande gentillesse et de la générosité.
? L'ancienne route de Médan : la villa Brimborion
Nous poursuivons notre reconstitution de l'histoire des villas de la rue Gallieni, avec celle qui fut rebaptisée "Les Groux" ; deux de ses propriétaires étaient des industriels.
? Les célébrités d'antan (commerce, industrie et transports) : André Létang
Nous évoquons l'un d'eux dont les deux frères étaient également propriétaires de maisons à Villennes. Ils étaient les héritiers et les dirigeants, depuis 1917, d?une société industrielle très spécialisée : fondée en 1832 par un de leur ancêtres, leur entreprise, toujours en activité, fabriquait des moules pour chocolat.
? Les célébrités d'antan (spectacles et loisirs) : Lucienne Watier
L'épouse d'André Létang, Lulu Watier (ou Vattier), n'a pas été forgée dans le même moule que sa belle-famille. C'est son activité d'agent artistique d'acteurs célèbres, tels que François Périer, Marie Daems, Gérard Philippe et Jean Marais, qui l'a conduite à les inviter dans sa maison de Villennes. Avant de participer à la création et au développement de l'agence Ci-mu-ra, elle avait été actrice de théâtre puis de cinéma.
26 novembre 2010
Compléments
? La justice : le hussard noir et la soutane
En 1832, une guerre se prépare : calotins contre libertins.
A Villennes, comme dans toute la France, dans l'attente des lois et des ordonnances sur l'instruction publique et la liberté de l'enseignement, les conversations sont animées. De quoi se mêle-t-on ? Depuis des siècles, le clergé enseigne et, du jour au lendemain, il est soupçonné d?incompétence, on veut détourner les ouailles. Il faut fourbir les armes, quelles qu?elles soient. Vous connaîtrez celle du curé de Villennes, qui cohabitait avec l'instituteur dans la maison commune.
? L'ancienne route de Médan : la maison détruite et la villa abandonnée
Une maison du XIXe siècle, située à côté de l'escalier des 100 marches en face du Clos Sainte Barbe, a été récemment détruite pour laisser la place, malgré la forte pente du terrain, à de nouvelles constructions. A côté, subsiste la "carcasse" d'une villa bâtie en 1959, qui ne fut jamais habitée par ses commanditaires. Pourquoi sa construction fut-elle abandonnée ?
? Les architectes des villas : Claude Parent, l'architecte de l'oblique
Nous évoquons ce célèbre architecte contemporain, membre de l'Académie des Beaux-Arts. Il conçut cette villa pour Guy et Paule Daubier mais ceux-ci s'opposèrent, en 1979, à la remise du Grand Prix national d'architecture à l'architecte ... Ils n'avaient pas oublié le litige qui les empêcha de devenir Villennois.
30 septembre 2010
Complément
? La justice : les poissons et les plaideurs
Nous avons transcrit les minutes de trois audiences du Tribunal de police en Poissy en novembre 1835, qui auraient pu inspirer une fable à Jean de La Fontaine. Théophile Marcel, âgé de seize ans, qui a travaillé chez Germain Lacroix, pêcheur à Villennes, en qualité de garçon pêcheur, se serait-il permis de vendre un poisson à son insu ?
19 juillet 2010
Nouvelle rubrique
Cette nouvelle rubrique présente les activités du Syndicat d'Initiative, fondé en 1909 : il embellissait le village, en faisait la promotion touristique et défendait les intérêts de ses habitants. Léon Francq en fut un président très actif.
Compléments
? Les célébrités d'Antan : Gaston Akoun
De nouvelles informations sur les expositions américaines, dans lesquelles Gaston Akoun présentait ses attractions "Beautiful Orient" et "Streets of Cairo", et sur le Luna Park de la Porte Maillot ainsi que que de nombreuses illustrations complètent cette rubrique.
? Les célébrités d'Antan : Charles Barbière
Un ingénieur qui a fait toute sa carrière à la Société de construction des Batignolles, dont il devint administrateur, fut propriétaire de la villa Brimborion / Les Groux. Directeur du service technique des travaux publics, il dirigea, notamment, la construction des chemins de fer helléniques. Il était vraisemblablement un ami d'un autre ingénieur, Léon Francq, qui devint son voisin en acquérant la villa Le Manoir et une personnalité villennoise.
? Les célébrités d'Antan : Léon Francq
Nous avons ajouté des photos des tramways à vapeur, améliorés et fabriqués par Léon Francq et la transcription d'un article de journal sur son projet, qui n'a pas abouti, pour le prolongement de l'avenue de la Défense jusqu'à Nanterre puis à Saint-Germain-en-Laye par une route et une ligne de tramway électrique. Les élus du Conseil Général imposaient la construction, à Nanterre, de HBM, les Habitations à Bon Marché qui ont précédé les barres et les tours de HLM ...
Un litige a opposé, en 1911, Léon Francq à Eugène Lamiraux. Le propriétaire de la villa Le Manoir se plaignait des importants dégâts occasionnés à sa propriété par les moutons de cet agriculteur du centre du village. Vous découvrirez la nature de ces dégradations.
9 juin 2010
Complément
Cette rubrique a été complétée avec les informations connues sur la villa Petit Bois, qui fut habitée à la fin du XIXème siècle par une sociétaire de la Comédie-Française et plus tard par un maire de Villennes, Joseph Rainaut. L'un de ses descendants nous a donné des photographies, qui nous permettent de la voir, ainsi que les ornements de son jardin, telle qu'elle était vers 1950.
11 mai 2010
Compléments
? Août 1944, la Libération de Villennes
Nous avons ajouté :
- la transcription intégrale du rapport sur l'assassinat des otages de Breteuil, que nous avons retrouvé. Près de 70 ans après cet acte de barbarie, malgré les détails des scènes horribles qu'il nous restitue, nous le publions intégralement,
- une présentation de quelques Villennois qui contribuèrent à la Victoire par leurs actions héroïques, comprenant les deux séquences sonores sur Emilienne Le Sidanner et Susan Travers.
? Susan Travers, une femme dans la Légion
Cette dernière séquence a également été ajoutée dans la rubrique qui lui est consacrée : Simone Veil a évoqué la Bataille de Bir Hakeim et Susan Travers dans l'éloge de son prédécesseur, Pierre Messmer, lors de sa réception à l'Académie Française, le 8 mars 2010.
Un dessin d'Edmond Bories, représentant le moulin de Migneaux, a été ajouté. Il a été publié, en 1901, dans son livre "Histoire de Poissy".
21 avril 2010
Nouvelle rubrique
Cette rubrique est ouverte
avec deux bagarres :
- une rixe, en
1890, entre deux Villennois, un laitier et un agriculteur tous deux
nommés Goupy, bien que
non parents mais époux de deux cousines par alliance qui
"se voyaient d'un mauvais ?il" ...
- l'attaque de Villennes, en 1907, par une bande de jeunes.
Ils étaient une trentaine, âgés de moins de 20 ans, venus de Boulogne et de Billancourt en voitures hippomobiles. Après un déjeuner bien arrosé au restaurant des Tilleuls, ils terrorisèrent la population, blessant 8 personnes et commettant de nombreux actes de vandalisme.
Complément
Nous avons ajouté des informations et des images sur la revue Naturisme, qui s'intitulait Le grand hebdomadaire de culture humaine, fondée et dirigée par les frères, médecins, Gaston et André Durville. Elle publia souvent des articles sur le domaine de Physiopolis, qu'il avaient créé.
12 mars 2010
Nouvelle rubrique
? La justice : la justice de paix (justice de proximité au XIXème siècle)
Le tribunal de justice de paix de Poissy était, depuis 1790, le lieu où les citoyens villennois venaient ester en justice pour des incivilités, des désaccords entre voisins, des dettes ou des successions. Nous avons résumé quelques sentences de conciliation relatives à la "paysannerie" et évoqué les affaires familiales. Différents tampons, officialisant les procès-verbaux, ont été reproduits.
Complément
Nous avons ajouté des images des plaques apposées à l'extérieur des villas et des inscriptions, toujours visibles, indiquant leurs anciens noms. La collection comprend 158 noms de villas.
17 février 2010
JEU
Saurez-vous trouver les réponses de notre quizz, aussi bien que les membres de l'ACV lors de la récente soirée annuelle de l'association ? Toutes se trouvent sur ce magnfique plan représentant notre village en 1786.
RUBRIQUES HISTORIQUES
Compléments
? Les fêtes traditionnelles : le carnaval
Nous avons transcrit (et illustré) un arrêté du maire, Henry Cauchoix, du 1er février 1910 : il était destiné à réglementer la période du Carnaval. A notre connaissance, il n'a pas été abrogé ...
? La chasse : limites entre Orgeval et Villennes
Nous avons transcrit deux courriers adressés, pendant l'été 1931, par les responsables de la société de chasse de Marolles à celle d'Orgeval afin de parvenir à une entente cordiale sur la délimitation de leurs territoires.
? La rue de Poissy : les débits de boissons
L'Hôtel du Nord villennois n'avait rien à voir avec le célèbre hôtel parisien, au bord du canal Saint Martin, qui a donné son nom à un film non moins connu. Il a été ouvert, par un cultivateur, en 1884, dans sa maison.
Il a, vraisemblablement, été remplacé par le Chalet de la Montagne. Il constituait, au bord d'une sente montant sur le Bois des Falaises, une halte agréable sur la route de Poissy, au milieu des champs, où s'édifiaient des villas. La forme d'une maison, perpendiculaire à la rue, avec son chien assis, permet de situer cet établissement.
Nous avons ajouté quelques informations sur les éditeurs villennois.
9 janvier 2010
Nous avons complété cette rubrique, en ajoutant notamment 4 photos prises en janvier 1910 devant le passage sous les voies de chemin de fer.
? L'église Saint Nicolas : le tableau de Laurent de la Hyre, retrouvé et restauré
La commune de Villennes dispose, à nouveau, d'un tableau exceptionnel, élément précieux de son patrimoine. Nous avons reproduit la plus grande partie de l'article de la Lettre de Villennes (numéro 129, décembre 2009) décrivant l'histoire récente, assez mouvementée, de ce tableau intitulé "La Pentecôte". Nous avons ajouté des informations sur ce peintre et dessinateur français du XVIIe siècle.
A l'occasion de l'extension du marché de Villennes, qui se tient, de nos jours, le samedi matin sur la place de l'Eglise (autrefois devant le Sophora), nous avons relaté son origine. Il a été créé en 1920 par deux entrepreneurs de marchés parisiens, qui obtinrent la concession du droit de percevoir les taxes communales de place et de stationnement. N'ayant pas immédiatement rencontré le succès, le marché fut réouvert en 1927, après un arrêt de 4 années.
Les informations sur les anciens dirigeants du TCV ont été mises à jour.
2 novembre 2009
? La rue de Poissy : les villas La Clairière et L'Hermitage
Nous avons ajouté des informations, illustrées par de nombreuses photographies, sur l'origine de deux belles villas construites en 1884 et vers 1895, de part et d'autre de la rue de Poissy sur d'anciennes parcelles agricoles ; le terrain de la seconde était le potager de la première.
? Les célébrités d'antan : Fernand Thiéry, éditeur du premier journal des petites filles
Fernand Thiéry, qui fit bâtir la villa La Clairière, était le directeur-gérant du journal La Poupée Modèle, publié depuis 1862. Ce journal s?imposa comme le principal magazine français pour les petites filles jusque vers 1905. Fernand Thiéry était associé avec la propriétaire du magasin parisien A la Poupée de Nuremberg ; elle lui rédigeait des articles sur les poupées destinées aux jeunes lectrices du magazine qui, en contrepartie, lui faisait gratuitement de la publicité. Fernand Thiéry fut l'un des précurseurs de la vente par correspondance, en vendant à ses lectrices le stock de poupées du magasin, lors de sa fermeture.
9 octobre 2009
? Le château "Perdrier-Brinon" : inventaire du château
Nous avons intégralement transcrit l'inventaire, effectué le 21 août 1792 par des administrateurs du district de Saint Germain en Laye, en présence d'officiers municipaux. Nous l'avons illustré d'images représentant des meubles, des objets et des gravures que l'on pouvait trouver dans les appartements de Pierre Paul Gilbert de Voisins, de son épouse, de leur fille ainsi que dans les chambres de leurs personnels très nombreux (officiers et gens), dans les cuisines et les divers locaux de la basse cour.
La lecture complète de cet inventaire peut être fastidieuse ; il contient toutefois des informations très intéressantes pour reconstituer le cadre de vie du dernier seigneur de Villennes.
21 août 2009
Alors que certains ont recherché une île lointaine pour leurs vacances ou en ont rêvé, nous avons complété les informations sur une île de la Seine, en particulier sur l'une de ses villas et ses anciens habitants.
? L'île de Villennes : la villa l'Ile du Rêve
La première villa entre l'entrée de l'île et l'avenue Briens, récemment rebaptisée Les Cerisiers, recevait de nombreux et célèbres visiteurs, lorsqu'elle était louée, au milieu du XXe siècle, par Pierre Lazareff. Elle avait été construite sur un pré acheté en 1914 par Stanley Whitechurch, négociant britannique, l'un des directeurs de la société de tannerie George Whitechurch Ltd. Elle appartint ensuite à son frère Edward puis à la cantatrice Andrée Vally.
? L'île de Villennes : la villa Welcome
La maison voisine, construite par l'architecte Théophile Bourgeois, faisait partie de la même propriété. Elle eut, pendant lété 1950, des locataires qui connurent ensuite la célébrité : Marlon Brando et ses amis, comédiens et cinéastes.
Ces deux frères dirigèrent l'entreprise familiale fondée, en France, par leur père, spécialisée dans les cuirs pour chaussures. Ils appréciaient les sports mécaniques (automobiles, bateaux) et pratiquaient également la voile sur leur cotre Wayward, avec lequel ils remontèrent la Seine jusqu'à l'île de Villennes.
? Les célébrités d'antan (spectacles et loisirs) : Andrée Vally, cantatrice soprano niçoise
Joséphine Vial de Montanier, originaire de Nice, a chanté sous le nom d'Andrée Vally à l'Opéra de Paris. Elle tint notamment le rôle principal dans Béatrice de Messager, lors de sa création en mars 1914. La réalité de ses liaisons avec le futur roi d'Angleterre, Edouard VII, et le prince de Monaco n'a pas pu être vérifiée.
? Le Bois des Falaises : la villa Brooklands
Nous avons précisé les informations sur cette maison, à laquelle Edward Whitechurch, passionné de courses automobiles, a donné le nom du premier circuit entièrement consacré à l'automobile, qui fut ouvert en 1907 dans le Surrey. Elle avait été construite, comme la villa Le Cloître située en face, pour Ernesta de Hierschel, qui avait été l'épouse du financier Louis Stern et fut une femme de lettres sous le nom Maria Star.
5 juin 2009
? Les
célébrités d'antan (spectacles et loisirs) :
Pauline Granger, comédienne du
Théâtre Français
Nous avons ajouté une biographie de la comédienne qui fut propriétaire, de 1898 jusqu'à son décès en 1913, de la villa Le Petit Bois, située au début de la rue de Poissy, au niveau de la croix qui donna au lieu-dit son nom La Croix du chemin neuf.
Après avoir débuté sa carrière de comédienne, en 1853, au Théâtre de l?Odéon, elle joua à la Comédie Française tous les rôles de soubrettes. Lorsqu'elle prit de l'âge, on lui confia des rôles de mère dans des créations qui lui donnèrent les meilleures critiques.
5 mai 2009
Nous avons entièrement transcrit l'inventaire du château réalisé en 1784. La lecture de la liste du mobilier d'Armand Louis le Boulanger peut être fastidieuse mais elle apporte des informations intéressantes sur les personnes pouvant être logées dans le château, sur la décoration des pièces et le plus ou moins grand confort des chambres, sur les loisirs du propriétaire.
Sans pouvoir affirmer que l'un des 3 poêles, qui furent l'objet d'un devis en 1787, fut fabriqué et installé dans le château d'Acqueville, nous présentons les esquisses réalisées par un poelier du Faubourg Saint Antoine.
? Les restaurants du Bords de Seine : Les Tilleuls / Riverside
Alors que des travaux de transformation du bâtiment de l'ancien Restaurant des Tilleuls sont en cours, faisant disparaître le nom "Riverside" de l'établissement qui lui avait succédé, nous publions son menu du réveillon du 31 décembre 1966.
8 avril 2009
? La rue de Poissy : la villa Vista Bella
Nous présentons cette villa, rebaptisée "La Chamade", qui est certainement celle de la rue de Poissy dont l'architecture est la plus remarquable et originale.
? Les villas / les architectes
La rubrique a été complétée : "Art nouveau avec les architectes Barbaud et Bauhain et le sculpteur Rispal" présente les deux architectes Edouard Bauhain et Raymond Barbaud, qui construisirent cette villa en 1888, et Louis-Jules Rispal, auquel ils confièrent les décorations.
? Les célébrités d'antan : Louis Baron, comédien et directeur du Théâtre des Variétés
Le propriétaire le plus célèbre, au moins à son époque, de cette villa construite par un directeur du Théâtre de Caen, fût le second, qui joua dans ce théâtre avant de rejoindre, puis de diriger le Théâtre des Variétés à Paris.
Grâce à un dossier d'articles de presse, déniché à la Bibliothèque Historique de la Ville de Paris, nous faisons revivre cet étonnant personnage : amusantes descriptions de son extraordinaire voix et de son goût pour le jardinage à Villennes et sur son balcon parisien, anecdotes sur ses tournées, ...
? Les sports : du canotage à l'aviron
L'évocation du canotier Guy de Maupassant a été complétée par des extraits de l'une de ses chroniques, parue dans le journal Gil Blas, le 19 juin 1893 : il y raconte ses descentes de la Seine sous la forme de notes prises par deux canotiers de Paris à Rouen. De Villennes à Mantes, ils naviguent en recherchant un noyé, qui leur a été signalé.
En réponse à une question qui nous a été posée, nous donnons l'origine vraisemblable du nom de la prairie de la Nourrée, qui était souvent recouverte par les eaux de la Seine, lors de ses crues ; il pourrait être dérivé du mot noue : terre grasse et humide, servant à la pâture des bestiaux.
? Les villas : collection de carrelages
Nous avons ajouté quatre carrelages de la villa "La Sapinière".
14 mars 2009
Les archives des notaires, en particulier de ceux de Poissy, constituent une importante source d'informations sur l'évolution de la population du village et sur son urbanisation. Avant la Révolution, Villennes possédait son propre notaire ou tabellion, qui dépendait du seigneur dont il était assez proche. Sa charge couvrait la prévôté (premier degré de la justice royale), la châtellenie (la plus petite partie du découpage administratif, équivalent aux communes d'aujourd?hui) et la grurie (droit royal de percevoir une partie des coupes de bois et une portion des amendes et confiscations, prononcées pour abus et malversations dans ces bois) ainsi que leurs dépendances. Cette nouvelle rubrique concerne les notaires connus, pendant deux siècles, à partir de 1599.
? Les villas : collection de carrelages
Les Villennois qui nous permettent de visiter leur maison nous autorisent, le plus souvent, à photographier les éléments caractéristiques de leur architecture et de leur décoration. C'est ainsi que nous avons constitué une importante collection d'images de carrelages des villas, que nous avons largement complétée.
16 février 2009
? La police (gardes-champêtres)
Cette rubrique a été
complétée par plusieurs documents relatifs au maintien de
l'ordre public à différentes époques :
- le procès-verbal de la prestation de serment du sieur Henry
Rivierre, garde-champêtre, en 1808 : de
veiller avec soin et fidélité à la conservation
de tous les fruits et récoltes qui seront confiés
à sa garde et de se conformer, en outre, à ce qui est
prescrit par les lois sur la police rurale.
- l'arrêté concernant la police municipale de la
commune de Villennes de 1830.
- deux textes relatifs au stationnement, place de la gare :
arrêté de 1913 et arrêté de 1934 concernant
les voitures de place à la station et à la course.
Nous avons ajouté le plan du terrain acquis en 1900 par Madame Parvery de la Compagnie des Chemins de fer de l'Ouest.
? Les célébrités d'antan : Pierre Decourcelle
Nous avons apporté une précision sur la villa de l'avenue Georges Clémenceau, appelée ultérieurement "Le Verger". Alors baptisée "Grand Trianon", elle était encore en construction en 1900 lorsqu'elle fut acquise par l'auteur dramatique, Pierre Decourcelle. Le maire de Villennes, Louis Havez, ancien directeur de théâtre, qui venait de décéder, l'avait fait bâtir sur une partie du terrain de la maison voisine "Beauséjour", où il habitait. Nous reproduisons également une amusante lettre adressée par le propriétaire à son notaire.
16 janvier 2009
Jeu des noms des anciens lieux-dits
Saurez-vous, sans reconsulter la rubrique sur le plan du cadastre napoléonien, localiser un plus grand nombre d'anciens lieux-dits de Villennes que les membres de l'ACV lors de la soirée annuelle de l'association de janvier 2009 ? Ils devaient replacer sur ce plan de 1821 les noms de 27 de ces lieux-dits (ceux du village, de l'île de Vilaine et de l'île de Migneaux, trop simples, n'y figuraient pas de même que ceux des hameaux et des châteaux de Migneaux et Acqueville).
Compléments
Nous avons accru notre connaissance des membres de la famille des seigneurs de Villennes, à travers la littérature de leur époque, par un portrait élogieux de Mademoiselle de Villenne, fille de Nicolas Bourdin et de Marie Fayet. Ce texte en vers d'Antoinette des Houlières fut publié dans La Galerie de portraits de La Grande Mademoiselle, Anne-Marie-Louise d'Orléans, duchesse de Montpensier.
La rubrique sur les anciennes maisons a été complétée par l'histoire d'une ferme qui se trouvait jusqu'en 1930 en face de l'église. De nombreux Villennois ont connu le restaurant Au Berceau qu'une agence immobilière a remplacé. Seuls les plus anciens savent que l'allée située à sa gauche conduisait à l'une des quelques fermes du centre du village.
Compléments
Nos recherches dans les archives départementales, en particulier dans les anciens actes notariés, nous apportent chaque mois de nouvelles informations, qui complètent le site Internet de la mémoire de Villennes.
L'acte de vente, en 1903, d'une moitié des bâtiments du château à Paul Richardierre, marchand de vins, fournit une description à cette époque et un plan.
? Les restaurants du bord de Seine et Les restaurants de l'intérieur du village
Plusieurs documents nous donnent des
précisions sur divers restaurants et/ou un plan :
- l'inventaire après le décès d'Aron Faktorowitz
(le tailleur de Tchernobyl), le premier propriétaire du Restaurant
du Petit Parc,
- l'acte d'achat par Jules Bodin à la Compagnie des
Chemins de fer de l'Ouest du terrain où il avait construit le
restaurant Aux Tilleuls,
- les actes des emprunts qui lui ont été
consentis, moyennant des hypothèques sur cet
établissement et sur le restaurant Au Berceau,
dont il était encore propriétaire, ainsi que ceux
concernant un prêt à Anthony Ballivet, le repreneur
du premier restaurant cité.
- l'acte de vente par Emile Martin, bâtisseur et premier
exploitant de l'hôtel-restaurant du Sophora,
à un restaurateur de Deauville,
Barthélémy Antoine Peynet.
Nous y avons également trouvé, dans la forme de la tonnelle qui couvrait la terrasse du restaurant Au Berceau, l'origine de son nom : une tonnelle est un treillage en berceau couvert de verdure.
Nous avons identifié les différents propriétaires des Bigochets au 19ème siècle :
- Pierre Sulpice Rodier, le meunier
qui exploitait un bateau-moulin sur le petit bras de la Seine à
Migneaux,
- Honoré Charles Plouin, boulanger, premier
propriétaire de la maison qui devint celle du jardinier de
la villa La Vallée des Roses,
- Emile Havez, ancien administrateur de théâtres,
qui acquit plusieurs villas (Beauséjour, villa Marie) et se fit
élire maire du village.
Nous avons appris que Jules Mirgon, devenu le premier agent immobilier de Villennes en 1880, avait vendu, en 1903, son fonds de commerce d'entrepreneur en maçonnerie à un confrère de Poissy, Paul Leufroy Poret, qui construisit plusieurs villas dans notre village.
Compléments
? La famille Perdrier-Brinon et les poètes de la Pléiade
La rubrique sur les seigneurs de Villaines a
été complétée par des textes sur ceux qui
marquèrent leur époque, notamment en construisant un
château au centre du village. Villennes et Médan eurent les
mêmes seigneurs après le mariage de Pernelle Perdrier et de
Jean Brinon, ami des poètes de son temps.
Nous avons transcrit le Mémoire pour servir à
l'histoire du village et de l'ancienne seigneurie de Medan,
publié en en 1849 dans le Bulletin des Bibliophiles et
ajouté diverses illustrations. L'auteur y
avait inséré le récit de Pierre Belon sur les
passe-temps du groupe de poètes lors de leurs visites à
Villennes et à Médan ainsi que le poème
de Jean Dorat sur la fontaine pétrifiante de Villanis.
Le "blog" de l'ACV
La rubrique Connaître l'ACV a été restructurée et étoffée pour devenir un véritable blog, comme on dit maintenant. Un menu permet de prendre connaissance des multiples activités de l'association, en lisant des comptes rendus, illustrés de nombreuses photographies :
- L'ACV, autrefois et aujourd'hui
- Le 2ème livre de l'ACV
- Les causeries trimestrielles
- Les Journées du Patrimoine
- Les articles dans la Lettre de Villennes.
De plus, ce mois-ci, est présentée la solution de l'énigme du rallye pédestre des Journées du Patrimoine, publiée dans la Lettre de Villennes.
Ce blog sera complété après chacun des rendez-vous de l'association.
Compléments
La rubrique sur les carrières de gypse et les plâtrières ainsi que celle sur la famille Parvery ont été complétées au moyen d'informations, issues des archives des descendants de cette famille de carriers-plâtriers, et de nombreuses images de leur album photos.
17 août 2008
Complément
Nous avons ajouté une rubrique sur Charles Dufresny, auteur dramatique (et comique), journaliste et premier paysagiste. Propriétaire du château de Migneaux pendant 8 ans à partir de 1682, il aménagea son parc, y déployant son art des jardins irréguliers qu'il inventa avant qu'ils reviennent en France sous le nom de jardins anglais.
e garçon ordinaire de la chambre du Roi, Louis XIV, n'était pas un homme ordinaire. S'il pratiquait le dessin et la musique en amateur, il fût un auteur dramatique reconnu à son époque. Ses pièces, écrites avec Jean François Regnard puis seul après leur brouille, étaient jouées par la Comédie Française. Dans le Mercure galant (devenu ensuite le Mercure de France), le journal dont il fut directeur et dans lequel il publiait des poésies, des nouvelles historiques et des chansons, il inventa la tribune libre et le courrier des lecteurs. Il fût également le précurseur du collage avant les surréalistes et Picasso.
25 juin 2008
Complément
Nous avons complété la rubrique sur Robert Lotiron, artiste-peintre néoréaliste, en ajoutant des photographies, issues de l'album de sa famille. La villa La Source a appartenu à ses parents, puis à lui-même ; il y a peint plusieurs tableaux, dont Les joueurs de jacquet, qui représente son père et son frère sur la terrasse de la maison.
Compléments
Nous avons ajouté des informations sur Marie Louise O'Morphy, issues en particulier de l'ouvrage Le goût du roi de Camille Pascal (Editions Perrin, 2002), avec quelques illustrations.
A propos d'une autre Marie Louise, nous avons apporté des précisions sur l'origine de la Villa Louise, bâtie en 1889 par Benoit Redaux, négociant en denrées coloniales et maire de Villennes. Comme pour de nombreuses villas, le nom de celle-ci est un prénom féminin : Louise était le deuxième nom de baptême de l'épouse de ce premier propriétaire.
9 avril 2008
Complément
? Marcel Capelle, dirigeant d'un armement familial rochelais
La rubrique sur les célébrités d'antan (Commerce, industrie et transports) a été complétée pour présenter l'histoire de la famille de Marcel Capelle, armateur, qui habita à Villennes pendant la Seconde Guerre mondiale et après, ainsi que celle de la Compagnie de navigation d'Orbigny.
RUBRIQUES HISTORIQUES
Compléments
Afin de préciser
l'histoire des 30 maires qui ont précédé notre
maire actuel, certains ayant eu cette fonction à plusieurs
reprises, cette rubrique a été
complétée par des photographies et des informations
sur trois d'entre eux :
- François Simon,
- Benoit Redaux,
- Léon Mirgon.
La rubrique sur la famille Mirgon a été également mise à jour.
? L'évolution de la population
Une petite histoire des recensements a été ajoutée ; quelques compléments ont été réalisés.
VILLENNES EN IMAGES
Une amélioration importante a été apportée, pour vous garantir un débit régulier quelle que soit l'affluence sur le réseau : nos séquences vidéo sont désormais stockées sur un serveur spécialisé, qui offre une excellente qualité de diffusion.
15 janvier 2008
Complément
La rubrique sur Alexandre Bordes, héritier d'une flotte de cap-horniers a été complétée par des informations et de nombreuses photographies issues de la collection de sa petite-fille France Bequette.
25 octobre 2007
RUBRIQUES HISTORIQUES
Complément
La rubrique sur les îlots de la Seine a été complétée par des informations qui n'ont pas pu trouver leur place dans notre livre.
VILLENNES EN IMAGES
Après les récentes Journées du Patrimoine, deux séquences vidéo, réalisées et diffusées par Yvelines Première, relatives au patrimoine de Villennes, ont été ajoutées :
- La grotte : le reportage présentait l'aménagement du parc du château par Jean Baptiste Paradis en 1869, à l'occasion de l'acquisition de la grotte par la commune.
- La villa "Le Cloître" : le reportage annonçait la causerie-visite dans cette étonnante demeure, bâtie en 1925 pour la femme de lettres Maria Star (Ernesta Hierschel de Minerbi, veuve du financier Louis Stern).
27 août 2007
Nouvelle rubrique
Si vous avez rejoint votre lieu de
vacances en avion, vous l'avez fait en toute sécurité
grâce aux pionniers de la radionavigation aéronautique.
Nous vous présentons l'un d'eux, Léandre Fallou,
un Villennois qui nous a quittés il y a sept ans. Au cours de
ses 18 000 heures de vol, il avait joué un rôle important
dans l'amélioration de la sécurité
aérienne.
24 mai 2007
Complément
La rubrique sur Robert Lotiron, artiste-peintre néoréaliste (1886-1966), qui passait l'été à Villennes depuis sa jeunesse, a été complétée. Vous pouvez découvrir 5 tableaux, qu'il a peints sur le motif dans notre village vers 1920 :
- le bord de la Seine, près de Migneaux,
- la guinguette (le restaurant Perche),
- le battage après la moisson à Breteuil,
- la fête, vraisemblablement à Breteuil,
- la terrasse de la propriété "La Source", où le
père et le frère de l'artiste jouent au jacquet.
23 avril 2007
Complément
La rubrique sur le château d'Acqueville a été complétée par la transcription d'un jugement de 1608, relatif à un litige entre la dame de Villaines, Marie Fayet, et son vassal Adam Chevrier, seigneur d'Acqueville depuis 1599. Nous avons rappelé le fonctionnement de la société féodale afin de mieux comprendre la notion de fief.
16 mars 2007
Complément
La rubrique sur les commerces a été complétée par une présentation de la seule épicerie, qui soit restée en activité et est devenue la "supérette". Elle a été installée par la famille Fortin dans l'immeuble qui a remplacé, après son incendie, une grange appartenant aux propriétaires de l'île. Quelques photographies nous la représentent à cette époque puis à celles de leurs successeurs, Gaston Balade et Paul Blossier. Les factures de ce dernier étaient illustrées de jolies publicités pour des produits qu'ils vendait et dont certains ont disparu.
12 février 2007
Nouvelle rubrique
Février
2007 : l'ACV fête ses 40 ans
L'Association Culturelle de Villennes a été fondée le 4 février 1967. Pour célébrer son 40ème anniversaire, les membres de l'association se sont réunis, le 9 février 2007, avec quelques descendants immédiats des fondateurs, afin de leur rendre hommage. Cette rubrique, complétant l'histoire de l'ACV, relate cette soirée-anniversaire et reproduit les informations qui y ont été données :
- articles publiés dans le Bulletin Municipal en 1967,
- biographies des fondateurs de l'association.
Compléments
La rubrique sur les maires a été complétée par les biographies, illustrées, de Jean Robin et de Maurice Magnet.
27 janvier 2007
Compléments
La rubrique sur les gardes-champêtres a été complétée par des informations sur Marcel Tabard, l'avant dernier garde-champêtre (des années 1940 jusqu'en 1953), et des photographies. Nous remercions son fils, habitant toujours à Villennes, de nous les avoir communiquées.
Nous avons ajouté, à la fin de la rubrique relative à l'église Saint Nicolas, un lien vers le site du millénaire de la paroisse. Vous y trouverez notamment une présentation, avec des commentaires audio, des Trésors de notre église.
20 décembre 2006
Nouvelle rubrique
A l'occasion des prochaines fêtes de Noël, nous publions un compte rendu de l'arbre de Noël des écoles de 1925.
Le chanteur Jean Péheu, qui habitait à Villennes, nous suit de mois en mois. Après son hommage aux Poilus, le chant de Noël, qu'il avait composé à l'intention des enfants est étrange, de nos jours, en cette circonstance : il fait référence à la grande guerre, encore très présente dans les pensées 7 ans après sa fin, et à la mauvaise situation économique du pays.
Cette rubrique évoque, au moyen d'extraits de plans de différentes époques et d'anciennes photographies, la route devenue la rue Gallieni et la rue du Maréchal Leclerc.
Elle accueillera les descriptions des villas remarquables qui y ont été construites en divers endroits.
Compléments
De nouvelles illustrations ont été ajoutées à 2 rubriques :
9 novembre 2006
Nouvelle rubrique
Louis Constant Hellstern, chausseur des célébrités
Avant de présenter deux villas remarquables qui lui ont appartenu, nous évoquons la vie et les activités du célèbre bottier de la place Vendôme, qui a décidé d'installer ses résidences secondaires à Villennes dès 1883.
Henri, l'un de ses fils qui ont continué à développer la maison Hellstern, nous fait revivre "un demi-siècle de splendeur" dans un petit livre de souvenirs, que nous avons intégralement transcrit.
Complément
A l'occasion de l'anniversaire de l'armistice de 1918, nous avons complété la rubrique sur la place de la Libération : dans la partie relative au monument aux morts, nous avons ajouté une poésie de Jean Péheu, qu'il a lue lors de son inauguration le 15 mai 1921.
13 octobre 2006
Nouvelle rubrique
Les participants de notre balade-surprise des Journées du Patrimoine devaient, notamment, reconstituer le refrain de la chanson, composée par Jean Péheu à l'occasion de la fête de la Rosière de 1928. Quelques uns ont osé la chanter sur l'air de leur choix.
Nous en publions les paroles dans la nouvelle rubrique relative à cette fête traditionnelle qui existe encore, de nos jours, dans une vingtaine de village en France. Nous en rappelons l'origine avant de donner un aperçu des festivités de Villennes dans les années 1920-1930, grâce à des photos conservées par d'anciennes familles du village.
Compléments
D'autres images issues de ces archives privées, d'une inestimable valeur, ont permis de compléter quatre autres rubriques.
- Août 1944, la Libération de Villennes
6 septembre 2006
Nouvelle rubrique
Avant que l'été prenne fin, profitons encore des plaisirs de la Seine : des photos de diverses époques (1892, années 1920 et 1950) nous rappellent que des fêtes y avaient lieu autrefois ainsi que des compétitions sportives et ludiques, en particulier des joutes nautiques.
Complément
Nous poursuivons l'histoire de ce domaine avec un épisode peu connu, qui s'est passé pendant l'été 1949. Il n'était pas seulement le refuge d'adeptes d'un retour vers la nature et de Parisiens cherchant le repos après leur semaine de travail.
René Girier, qui y avait amarré son beau voilier, s'y cachait car il était recherché par toutes les polices, en particulier par la Brigade Criminelle du Quai des Orfèvres, après son hold-up à la joaillerie Van Cleef & Arpels de Deauville. Nous reproduisons quelques extraits du livre "René la Canne" de l'inspecteur Roger Borniche, qui ont pour cadre Villennes : le truand y a échappé à sa traque mais sera bientôt arrêté par lui ; il deviendra plus tard un ami de l'ancien inspecteur ...
29 juin 2006
Compléments
L'un de nos amis a retrouvé la sixième édition du Bulletin de la Société Naturiste et du Syndicat des co-propriétaires de Physiopolis, publié en septembre 1948.
Nous avons transcrit l'ensemble des
articles qui nous donnent des informations
intéressantes :
- sur la vie animée des résidents à la
belle saison (très perturbée en cet été
1948 par de mauvaises conditions météorologiques),
- sur les débats, qui existaient sur la notion de
"naturisme".
? Août 1944, la Libération de Villennes
Nous avons ajouté des photos prises par des Villennois, alors jeunes, lors de l'arrivée de l'armée américaine.
Deux séquences vidéo ont été ajoutées :
- La vie au grand air à Physiopolis
Bien que très court, cet extrait d'un film d'un cinéaste amateur propriétaire d'un bungalow nous restitue quelques aspects de la vie collective et sportive que partageaient les résidents de Physiopolis :. canoë autour de l'île de Platais ;
baignades et natation dans la Seine,
. naturistes légèrement vêtus (premiers
bikinis pour les femmes),
. rencontres sportives.
- Le bicentenaire de la Révolution à Acqueville
"La 5", éphémère chaîne de télévision, a filmé les préparatifs et quelques parties du spectacle, qui a célébré le bicentenaire de la Révolution autour du château d'Acqueville, en juin 1989.
17 mai 2006
Compléments
? Les célébrités d'autrefois/Maria Star
Nous avons ajouté le portrait de Marie Louise Stern et des informations le concernant.
Diverses rubriques ont été complétées par des illustrations visuelles et sonores après notre récente causerie-débat "Les bords de la Seine de Poissy à Médan, au fil de l'eau et du temps".
? La pêche
? Le chemin de Villennes à Poissy
? Les restaurants du bord de Seine
6 avril 2006
Nouveau sujet
Jean Houpy regroupe, en 1896, plusieurs parcelles des Prés Blondeau, en bordure du chemin de halage de Villennes à Médan, que la Compagnie du Chemin de fer de Paris à Rouen avaient acquises puis revendues après la construction des voies.
Le restaurant, qu'il y bâtit, aura plusieurs propriétaires, dont l'un lui donnera le nom des peupliers permettant de le repérer de loin.
Vers 1967, il deviendra le logement de familles immigrées avant d'être démoli dix ans plus tard.
Compléments
? Le restaurant Jallabert / La Pergola
Nos recherches sur le restaurant des Peupliers nous ont appris que la maison Houpy qui a précédé celui-ci était voisine de la "Tranquille Auberge" d'Henri Roux, acquise en 1913 par Louis Jallabert.
Les portraits de Maximilien de Robespierre, Jérôme Pétion et Louis-Philippe, qui s'y sont rencontrés, ont été ajoutés.
? Les villas de Théophile Bourgeois
Cette partie de la rubrique sur les architectes a été complétée, en particulier par de nouvelles illustrations.
8 mars 2006
Nouveau sujet
? L'hôtel-restaurant du Sophora
Nous avons déjà rencontré l'entrepreneur de maçonnerie, Ambroise Emile Martin, à propos de l'histoire de la rue du Pont et de la Maison Manganne.
C'est lui qui a acquis, vers 1884, un terrain appartenant à la propriétaire du château, Marie Henriette Paradis, sur lequel avait été planté en 1803 un arbre apporté du Japon.
Il y a construit une maison en face de la station du chemin de fer, où il a aménagé un hôtel-restaurant. Cet établissement a été exploité ensuite par différentes familles (Cosneau, Dellerie, ...). On pouvait y garer sa voiture ou sa bicyclette, y jouer au billard ou à la balançoire, y louer des bateaux et, plus tard, participer à un "thé dansant".
Il est devenu, de nos jours, un bar-brasserie, qui conserve le nom du Sophora, l'arbre de très grandes dimensions, qui ombrageait sa terrasse. Après la démolition de l'ancienne salle de bal, celle-ci a été transformée, en 1999, en une jolie place du village.
Compléments
Cette rubrique sur un élément disparu de notre patrimoine, qui a été l'une des premières du site, a été complétée.
Le Sophora avait été classé en
1932 par le Ministère de l'Instruction publique et des
Beaux-arts. Très malade et perdant complètement son
feuillage, à l'âge d'environ 196 ans, il n'a
malheureusement pas résisté à la tempête de
fin décembre 1999.
4 février 2006
Nouveau sujet
? Ouvriers et employés (1855-1888)
Dans la seconde moitié du 19ème siècle, chaque ouvrier ou employé devait posséder un "livret d'ouvrier". Un registre conservé dans les archives municipales recense toutes les demandes de livret entre 1855 et 1888, avec de nombreux détails sur chaque titulaire.
Nous avons, en particulier,
étudié leurs lieux de résidence et de
naissance et, surtout, leur métier ainsi que le nom et
la profession de leur employeur, qui nous fournissent des
renseignements très intéressants sur cette
époque.
Compléments
Des mises à jour et divers compléments ont été apportés à la rubrique sur le domaine d'Acqueville.
13 janvier 2006
Nouveau sujet
Susan Travers, une femme dans la Légion
Un résumé de la biographie de Susan Travers-Schlegelmilch nous est donné par l'article publié à propos de son livre "Tant que dure le jour" , en mars 2001, dans le magazine Lire.
Une aventurière qui a préféré la guerre par Didier Sénécal L'une des spécialités de la perfide Albion est de donner le jour à de parfaits garçons manqués. Susan Travers, qui revendique fièrement cette dénomination, aurait pu briller dans l'exploration, dans l'alpinisme ou dans la navigation. Elle a préféré la guerre. Née en 1908, élevée sur la Côte d'Azur, excellente joueuse de tennis et peu farouche avec les messieurs, elle sillonne l'Europe des années 30. En 1940, les aventures font place à l'Aventure. Le hasard et la nécessité l'amènent à rejoindre la 13e demi-brigade de Légion étrangère, troupe hétéroclite qui durant de longs mois va porter sur ses épaules l'honneur de la France. Les états de service de Susan Travers sont proprement ahurissants : Dakar avec le général de Gaulle, l'Afrique équatoriale, Bir Hakeim et toute la campagne d'Afrique du Nord, l'Italie, le débarquement en Provence, l'Alsace. Souvent en première ligne, elle échappe cent fois à la mort et estomaque des camarades de combat nommés Sairigné, Messmer ou Simon. Pourtant, la baroudeuse demeure une frêle créature... Seule représentante de son sexe au milieu de milliers d'hommes, elle n'a que l'embarras du choix. Après une brève liaison avec le prince Amilakvari, elle s'éprend de son chef de corps, le colonel K?nig. C'est le début d'une histoire d'amour assez originale, pour ne pas dire un peu kitsch, et qui bien sûr se termine mal. En 45, pour oublier son chagrin, la seule femme qui ait jamais appartenu à la Légion étrangère rempile pour l'Indo avec le grade d'adjudant-chef... Mascotte du régiment, petite s?ur, grande s?ur, maîtresse, infirmière, chauffeur, confidente, substitut maternel pour les soldats à l'agonie : Susan Travers joua tous ces rôles à la fois. D'abord condescendants, ses compagnons ne tardèrent pas à la considérer comme une égale - puis comme une légende vivante. A la fin de la guerre, les jeunes officiers interrogeaient la combattante de Bir Hakeim avec un mélange d'irrépressible sympathie et d'admiration. Ce sont ces sentiments qu'éveillent en nous ses souvenirs réunis sous le titre Tant que dure le jour (Plon). |
16 décembre 2005
Nouveau sujet
? Les maisons de la famille Manganne
La Maison Manganne située, près du passage à niveau, en face du bar-restaurant "Le Sophora", aurait pu être appelée la Maison Martin. Bâtie vers 1897, elle comprenait deux parties, la villa Maria et la villa Caroline. Ces prénoms étaient ceux de deux des filles d'Emile Martin, entrepreneur de maçonnerie qui a construit et exploité l'hôtel-restaurant du Sophora. Albert Manganne, instituteur comme son père, a épousé l'une d'elles.
Vétuste, la maison a été acquise par la commune en 1991 et transformée en logements sociaux 4 ans plus tard.
Pendant la belle saison, Martin Manganne et sa famille passaient les fins de semaine, plus loin du chemin de fer, dans un chalet de bois bâti vers 1927 non pas sur la "montagne" mais dans un pré au pied du coteau.
Compléments
Plusieurs rubriques ont été complétées par des photographies :
? Les restaurants du bord de Seine
18 novembre 2005
Nouveau sujet
Dés sa création, la fanfare a organisé des concerts et comprenait une école de musique pour les jeunes.
Le banquet et le bal de la Sainte Cécile, qu'elle organisait chaque année à la fin du mois de novembre, se tenaient dans la salle du Sophora.
Les dirigeants de la fanfare étaient des personnes bien connues de Villennes. A partir de 1927, sous l'impulsion de Jean Péheu, chansonnier, auteur et compositeur de chansons, d'autres orchestres, en particulier des musiciens de jazz, ont été invités à participer à ses concerts.
Après sa dissolution en 1932, sa "Renaissance" a été de courte durée : la fanfare, qui lui a succédé sous ce nom en 1937, a du interrompre ses activités en septembre 1939.
Compléments
Le poème du lieutenant Maurice Saunier "Aux défenseurs de la patrie" a été placé à la fin de cette rubrique, qui décrit notamment le monument aux morts.
Les archives de la fanfare ont permis de compléter les rubriques suivantes par de nouvelles illustrations :
? Les restaurants du bord de Seine
? Les restaurants de l'intérieur du village
? La
distribution de l'électricité
Ouverture du nouveau site, avec
le soutien de l'ACV, la mémoire de Villennes
RUBRIQUES HISTORIQUES
Les résultats de 10 ans de recherches sur le passé de notre village ont été enrichis par deux nouvelles rubriques.
Cette allée privée résulte du lotissement d'un terrain, regroupant plusieurs parcelles agricoles acquises par Jean Téoullier, à partir de 1884. Ses deux fils, ainsi qu'un gendre, exerceront la profession de maîtres de lavoir. L'un d'eux sera maire de Villennes de 1929 à 1945.
Le morcellement du terrain en 7 lots aura lieu en 1923. L'allée, alors construite, portera le nom d'un homme politique, très populaire, député de Seine & Oise, décédé tragiquement en 1911.
? Le restaurant "Aux marronniers"
Ce restaurant existe toujours, mais son nom d'origine est devenu "En Ile de France" puis l'auberge "L'Ile de France". L'établissement a été établi dans une maison construite, vers 1903, par Jean Téoullier sur le terrain, dont il vient d'être question.
Il a été exploité par plusieurs commerçants et restaurateurs. Le premier, M. Monclerc, vendait des vins, de l'épicerie, de la mercerie et des articles de pêche. Il lui a donné le nom des marronniers, qu'il a plantés et qui ombragent agréablement sa terrasse, de nos jours.
VILLENNES EN IMAGES
Le nouveau cadre "culturel" de nos activités nous a incités à diversifier les vues de notre village. Après les images réalistes des photographes d'autrefois, nous proposons ses représentations par divers artistes d'hier et d'aujourd'hui, plus ou moins célèbres comme Maurice Utrillo et l'historien régional Edmond Bories ou non connus.
La recherche dans la banque d'images peut se faire à partir d'un sujet et/ou du nom d'un artiste-peintre.
? Vues de Villennes par satellite
Plusieurs services, récemment apparus sur Internet, permettent de voir d'excellentes photographies de la terre, prises par un satellite. Nous avons choisi celui de Google qui, offrant une possibilité de programmation, nous permet de centrer les photographies sur Villennes.
Différents niveaux de zoom sont possibles ; l'agrandissement maximal est toutefois réservé aux membres de l'ACV.
10 juin 2005
Rubrique "Cartes et plans : rues et places "
La rue du Pont
Histoire du terrain, qui a appartenu aux Seigneurs de Villennnes, aux châtelains et aux meuniers ainsi que des villas construites par des notables villennois, puis par des Parisiens. La maison la plus ancienne, remplaçant celle du meunier, a été l'annexe de l'hôtel-restaurant "Le Sophora".
Rubrique "Les Villennois d'hier : les
investisseurs fonciers"
Briens et Machoire
Edouard Eugène Briens a acquis les terrains des deux extrémités de la rue, où il a fait construire une maison, ainsi que le premier du futur Sentier du bord de l'eau, pour contrôler l'accès à l'île, qu'il allait bientôt acquérir. Il a vendu l'une des maisons à Charles Edouard Machoire, proche de la famille, receveur de rentes comme lui.
Rubrique "Les Villennois d'hier : les
célébrités d'antan"
Albertine Corrard-Dorfeuil, la veuve de la
Gaîté, directrice de théâtre
La veuve de Georges Corrard, dit Dorfeuil, a laissé son souvenir dans l'histoire du théâtre de la Gaîté-Montparnasse ; elle l'a dirigé, après le décès de son époux, qui lui-même avait succédé à son père et à sa mère.
13 mai 2005
Deux rubriques sont consacrées au bout du
Parc du château, après son lotissement :
Rubrique "Patrimoine : propriétés
privées/le lotissement du parc du château"
La villa "Marie Isabelle"
Construite vers 1910 par une Parisienne, cette villa présente une architecture intéressante. L'un de ses propriétaires ultérieurs, Henri Willem, a fondé en 1936 avec son beau-frère, dans l'île de Platais, la Plage de Villennes.
Rubrique "Vie économique :
hôtellerie-restauration / restaurants en bord de Seine
Le Restaurant Perche (Chalet du Parc ou
Restaurant du Petit Parc)
Cet hôtel-restaurant, créé en 1901 à l'extrémité du sentier du Bord de l'eau, a été exploité jusque vers 1928. Comme les autres restaurants du bord de Seine, il disposait d'un port permettant de s'embarquer pour une partie de pêche ou de canotage.
1er avril 2005
Rubrique "Patrimoine: propriétés
privées / l'île de Villennes"
La villa "L'Heure Romantique"
Cette villa a été construite vers 1932, lors de la deuxième phase du lotissement de l'île. Son nom est celui d'un parfum lancé en 1928 par la société Corday.
Rubrique "Les Villennois d'hier : les
célébrités d'antan"
Blanche Arvoy, parfumeuse
Ses deux sociétés, Corday et Jovoy, étaient bien connues à leur époque par leur fragrances et par les formes de leurs flacons.
Rubrique "Patrimoine : propriétés
privées/les villas de Villennes"
Les architectes des villas : L'architecte
Théophile Bourgeois et ses fils
La villa "L'Heure Romantique" a été construite par les fils d'un architecte de Poissy, Théophile Bourgeois, qui avait lui-même bâti plusieurs villas à Villennes.
Rubrique "Cartes et plans : rues et places "
La rue de Poissy
Histoire de la rue de Poissy ; évolution
de sa population et de son habitat.
La Vallée des Roses
Présentation de l'une de ses villas
remarquables.
Rubrique "Les Villennois d'hier : les
célébrités d'antan"
Léonard Rosenthal
Biographie du plus célèbre des propriétaires de cette villa, qui lui a son nom, traduit en français : le roi de la perle et jardinier des gemmes (1875-1955).
29 janvier 2005
Rubrique "Patrimoine : propriétés
privées "
L'île de Villennes
Adjonction du plan de lotissement de l'île et de commentaires.
25 janvier 2005
Rubrique "Vie quotidienne: les loisirs"
Reproduction d'un texte, rédigé par Marcel Mirgon, à l'occasion du Gala de la Chasse, la dernière manifestation de l'Hostellerie de la Nourrée, en octobre 1955 : il évoque les chasses royales et seigneuriales à Villennes et dans la région.
Rubrique "Vie économique : le tourisme"
Les cartes postales
Suite à l'ouverture de l'album des photos anciennes de Villennes, contenant de nombreuses cartes postales, résumé de l'histoire de ce moyen de communication et précisions sur les éditeurs des cartes représentant notre village.
23 décembre 2004
Ouverture de l'album des photos anciennes de Villennes
La banque d'images contient initialement 316
images, accessibles par sujet et/ou par quartier.
28 novembre 2004
Rubrique "Cartes et plans : anciens plans"
Le plan-relief (1896-97)
Présentation, au moyen de
photographies plus ou moins rapprochées, du plan-relief
réalisé en 1996-97, représentant une partie du
village cent ans plus tôt.
Historique des plans-relief depuis l'époque de Louis XIV, qui a fait établir ceux des villes fortifiées, construites par Vauban.
Rubrique "Patrimoine : propriétés
privées/le lotissement du parc du château"
La Villa du Parc
Cette maison a été bâtie sur l'un des
premiers terrains vendus dans l'ancien parc du château, acquis par
Alfred Pigny, architecte parisien. Elle a été la
propriété de Léon Siritzky et de sa famille, qui
s'est illustrée dans le cinéma : elle a notamment
exploité diverses salles parisiennes.
La villa, occupée par l'armée allemande pendant la guerre,
a été le lieu de scènes peu glorieuses après
la libération de Villennes.
Rubrique "Les villennois d'hier : les maires"
Alfred Pigny
Eugène Alfred Pigny a été maire
de mai 1896 jusqu'à son décès l'année
suivante. N'étant pas, comme la plupart de ses
prédécesseurs (à part les châtelains) issu
d'une ancienne famille du village, il semble avoir géré
la commune avec un ?il neuf et de nouvelles méthodes.
22 octobre 2004
Rubrique "Patrimoine : propriétés privées"Rubrique "Vie économique :
hôtellerie-restauration / restaurants en bord de Seine"
"Aux Bigochets" et "Aux Tilleuls"
Histoire des restaurants qui se trouvaient à chaque
extrémité du chemin de la Nourrée.
Rubrique "Les Villennois d'hier : les
célébrités d'antan"
Robert Lotiron
Evocation d'un artiste, qui a
été propriétaire d'une villa du chemin de la
Nourrée : peintre néoréaliste (1886-1966).
Rubrique "Patrimoine : propriétés
privées/le lotissement du parc du château"<
La villa "Ker Mounack"
Cette maison a été bâtie par
Alfred Laumonier, sur un terrain municipal voisin du lavoir de la
Fontaine, acquis en 1912 alors qu'il possédait la villa
Albertina et qu'il allait bientôt devenir le maire de Villennes.
Elle est vraisemblablement ?uvre de l'architecte Paul Huan, qui a
construit plusieurs villas de même style sur le chemin de la
Nourrée.
4 octobre 2004
Rubrique "Villennes au fil du temps : chronologie"
Août 1944, la libération de VillennesRubrique "Patrimoine : les châteaux"
Le château de Migneaux
Remplacement des photographies d'Olivier Delas,
illustrant en noir et blanc cette rubrique, par des reproductions des
clichés originaux en couleurs.
27 septembre 2004
Ouverture de la
vidéothèque
La Libération de Villennes
Le CHV célèbre le soixantième anniversaire de la
Libération, en proposant des extraits du film "Villennes 44" de
Jérôme Pinsembert et Christophe de Lafosse, comprenant
des témoignages de Tino Belluzzi et des scènes
filmées par lui au moyen de sa caméra Pathé
8 mm.
4 septembre 2004
Rubrique "Villennes par thèmes : vie
quotidienne/les loisirs"
La bibliothèque municipale
A l'occasion de l'ouverture de ses nouveaux locaux,
présentation de l'histoire de la bibliothèque,
créée officiellement en 1974 mais existait
déjà avant la guerre de 1939-45, ainsi que des
bibliothèques scolaires, qui l'ont
précédée depuis 1862.
Rubrique "Patrimoine : propriétés
privées"
La geôle
Visite de l'une des plus anciennes maisons de
Villennes, qui était parfois appelée la Maison du
Prévôt et a été utilisée, selon la
tradition orale, comme geôle (une inscription a
été gravée sur l'un des murs de sa belle cave
voûtée par un homme qui y a séjourné).
Rubrique "Cadre et transports : La Seine"
Les îlots
Evocation, au moyen d'anciens plans et de
photographies, des îlots qui se situent ou existaient à
proximité de l'île de Villennes.
Bigochets : explication de l'origine du nom d'un avenue de cette
île, d'un restaurant devenu une villa, chemin de la
Nourrée, ainsi que d'une sente du Bois des Falaises.
Rubrique "Patrimoine : propriétés
privées/le lotissement du parc du château"
La villa "Neptune"
Cette maison, bâtie en 1910 par
Célestin Vasson, a été étendue et
aménagée pour y installer la mairie en 1986. Son parc
est toujours agrémenté par une grande partie de la
rivière anglaise, comprenant le "grand lac" et l'île
sur laquelle se trouvait une faisanderie.
28 juin 2004
Rubrique "Patrimoine :
propriétés privées"
Les lotissements du parc du château :
La villa Albertina/Bourbonnia
Présentation de la villa construite vers
1902 par Alfred Laumonier, maire de Villennes de 1912 à
1919 ; son architecture est remarquable ; son jardin contient
des vestiges du parc du château : tour, grotte et source.
Rubrique "Les
Villennois d'autrefois : les maires"
Alfred Laumonnier
Précisions sur le premier maire qui n'avait
pas sa résidence principale à Villennes :
propriétaire d'un hôtel à Paris, puis
maître d'hôtel, il y a acquis plusieurs terrains et fait
construire sa villa. Il a notamment joué un rôle
important pendant la guerre de 1914-1918.
Rubrique "Cartes et
plans : anciens plans"
Le cadastre Napoléonien (1821)
Résumé de l'histoire de la réalisation du
cadastre et visualisation de celui de Villennes (plan parcellaire
global et agrandissements de plusieurs parties).
1er juin 2004
Rubrique "Patrimoine :
propriétés privées"
Les anciennes maisons : Les Pigeons
L'évolution du village à travers
les propriétaires successifs d'une maison construite vers
1845 sur une partie du jardin de l'ancienne maison commune.
Rubrique "Vie
économique : hôtellerie-restauration "
Les hôtels-restaurants du centre du village : Le Berceau
Présentation du restaurant,
créé par un agriculteur villennois en 1887, où
l'on pouvait boire du vin de pays et consommer des poissons (de la
Seine) en matelote ou en friture.
Rubrique "Cartes et plans : routes et
chemins"
Le chemin aux b?ufs et les chemins de Villennes à Poissy
Evocation du passé de ces chemins, qui se trouvaient sur
l'itinéraire des b?ufs, qui étaient conduits de
Normandie au marché aux bestiaux de Poissy.
6 mai 2004
Le lotissement du parc du château
- les deux lotissements successifs : le bord de Seine et
le parc lui-même,
- l'une des villas remarquables : celle de l'architecte
Léon Rigoni.
Les restaurants en bord de Seine
Présentation du restaurant Jallabert devenu "La
Pergola", dont l'exploitation a été
interrompue par la deuxième guerre mondiale.
Compléments
de rubriques existantes :
Le château de Villennes :
Réaménagement de la rubrique et divers
compléments, notamment un tableau
récapitulatif des propriétaires successifs.
L'ancienne mairie-école
Adjonction du devis estimatif de l'acquisition du terrain et du tableau des précédents propriétaires (famille Giraux)
La police (gardes-champêtres)
Ajout d'une lettre de M. Archdeacon,
propriétaire du château de Migneaux, souhaitant
un garde particulier pour la surveillance de ses
propriétés.
1er
avril 2004
Les villas de Villennes
- carte d'accès à la présentation de
villas remarquables,
- de la villa gallo-romaine aux villas de vacances : la
station estivale,
- balade dans Villennes : "diaporamas" illustrant quelques
caractéristiques des villas (les noms, les portails
à auvents, les tours et tourelles, les maisons de
gardien, ...)
Compléments
d'une rubrique :
Le Bois des Falaises
Adjonction d'une carte dressée vers
1910, apportant des précisions, et de nouvelles
informations trouvées sur l'une des anciennes
propriétaires, la mystérieuse Maria Star.
9 mars 2004
Le Bois des Falaises
Histoire de l'un des premiers lotissements de Villennes,
évocation des divers propriétaires des terrains,
avant le morcellement, et de ceux des premières villas
Rubrique
"Les Villennois d'hier : les
célébrités d'antan"
Jeanne Paquin
Première femme de la haute couture, elle a
été, ainsi que d'autres couturiers et des
membres de sa famille, l'un des premiers
acquéreurs d'un terrain du Bois des Falaises.
Compléments d'une
rubrique :
L'industrie (tuileries et plâtrières)
Adjonction d'un chapitre sur les carrières
qui, comme celle du Bois des Falaises, ont fourni des
moellons pour la construction des maisons de Villennes
2
février 2004
Migneaux
Souvenirs de jeunesse de Corine de Royer, arrière-petite-fille d'Alexandre Bordes
Les habitants du village en 1780
Cartes avec indications des noms des propriétaires de chaque parcelle
21 janvier 2004
Rubrique
"Villennes par thèmes : vie
économique/hôtels et restaurants"
Rubrique "Patrimoine : propriétés
privées/les villas"
La Villa de la
Nourrée, l'Hôtellerie et le Country-Club de
la Nourrée
23
décembre 2003
Fauveau
Quelques informations sur la propriété, qui a lontemps fait partie du domaine de Migneaux, et sur ses anciens propriétaires
Evocation de deux personnages, ayant
habité à Villennes au début du 20ème
siècle :
- Emile Magitot, l'un des premiers médecins
dentistes,
- Alexandre Bordes, héritier d'une flotte de
Cap-horniers.
Compléments
d'une rubrique :
L'eau (puits, fontaines et lavoirs)
Adjonction d'un chapitre sur les pompes
éoliennes de Villennes
8 décembre 2003
Compléments
d'une rubrique :
La ferme de Marolles
Ajout d'informations sur les propriétaires
de la ferme après sa vente, comme bien national, en 1795
4 décembre 2003
Compléments
d'une rubrique :
Les maires
Nombreuses adjonctions sur les maires de 1790 jusqu'au vingtième siècle, en particulier sur les anciennes familles dont ils sont issus et leur descendance
Evocation de deux parisiens, connus au début du vingtième siècle, ayant fait construire une villa à Villennes, où ils ont résidé :
- Gaston Akoun, pionnier des
parcs d'attraction,
- Pierre Decourcelle, de la
littérature populaire au cinéma.
10 novembre 2003
Compléments
d'une rubrique :
La place de la Libération
Vue circulaire des alentours de la place, avec descriptions des bâtiments anciens et de leurs photographies à diverses époques.
Rubrique
"Cartes et plans : rues et places"
La rue Michel Giraux
8 octobre 2003
Compléments de
deux rubriques :
- Villennes au fil du temps, de 1789
à 1799 : l'administration du sequestre des biens
de Pierre Gilbert de Voisins
- l'église Saint Nicolas :
l'histoire des cloches.
16 septembre 2003
Rubrique "Les
Villennois d'hier : anciennes familles"
De la maçonnerie à
l'immobilier : la famille Mirgon
9 septembre 2003
Rubrique "Villennes
en chiffres : finances"
Les revenus des terres vers 1789
Rubrique "Villennois
d'hier : anciennes familles"
Une famille de propriétaires, les
Souhard
Compléments de
quatre rubriques :
- l'école de la rue de Neauphle
: annonce d'hypothèques légales de la vente de
la maison acquise pour installer l'école
- les moulins : anecdotes sur le
déplacement du moulin à bateau de Mignaux et croquis
du moulin du pont (1832)
- les maires :
généalogie partielle des familles de trois maires,
Jean Laurent Menard, Henry Lelarge et Ambroise Léonor Binet
- l'ancienne mairie-école
: photographie de la médaille commémorant le
début de sa construction
19 juin 2003
Rubrique "Patrimoine
: Propriétés privées"
Le Domaine de Physiopolis
6 juin 2003
Rubrique "Cartes et
plans : rues et places"
La rue de la Ravine
Rubrique "Villennes
par thèmes : cadre et transports"
La ravine
Rubrique "Les
villennois d'hier : anciennes familles"
- les villageois voisins du
château,
- les propriétaires riverains de
la ravine.
30 avril 2003
Rubrique "Villennes
par thèmes : vie quotidienne"
Les commerces : les kiosques
Complément de
deux rubriques :
- la gare : photographie de la
gare de Clamart, dont le plan a été
réutilisé pour celle de Villennes
- la ferme de Marolles
:transcription du procès-verbal de la vente des fermes de
Marolles et de Beaulieu, biens nationaux, confisqués au
Seigneur émigré, Gilbert de Voisins
1er avril 2003
Rubrique "Cartes et
plans : rues et places"
Le raccordement de la rue Parvery et de
la rue de l'école
Rubrique "Patrimoine :
propriétés privées"
L'ancien presbytère
Compléments de
deux rubriques :
- l'eau (puits, fontaines et lavoirs)
: précisions sur les lavoirs, avec plans et photographies
- la Seine / les moulins : plan
de situation des moulins de Mignaux
3 mars 2003
Rubrique "Cartes
et plans : anciens plans"
La carte de Cassini
Compléments de
trois rubriques :
- la Seine / les inondations :
détails sur la crue de 1910 à Villennes
- le château de Villennes :
précisions et photos relatives à la famille
Clément de Givry
- anciennes familles :
précisions sur la famille Parvery
3 février 2003
Rubrique "Villennes
par thèmes : cadre et transports"
La Seine :
- les moulins
- la pêche
- faits divers.
Compléments de deux rubriques
:
- l'église Saint Nicolas :
Vierge à l'enfant, pierre funéraire, St Victor, Ste
Gertrude
- Léon Francq : le tramway
de Poissy à Saint Germain
7 janvier 2003
Rubrique "Villennes
par thèmes : cadre et transports"
La Seine :
- les inondations
- le transport fluvial.
20 décembre 2002
Rubrique "Patrimoine
: propriétés privées"
La ferme de Marolles : ajout de sa
description lors de sa vente, comme bien national, en 1795.
11 décembre 2002
Rubrique "Villennes
par thèmes : vie quotidienne"
Les sports :
- le jeu de balle au tamis
- du canotage à l'aviron
- la gymnastique
- le basket-ball
- le tennis.
Rubrique "Les
Villennois d'hier : figures d'autrefois"
Raphaël Cornille, l'homme du
Nord, qui a apporté l'Esperance à Villennes
5 décembre 2002
Compléments de
trois rubriques :
- le château de Villennes
- les maires
Ajout des biographies de 3 propriétaires du château :
Jean de Bez, Joseph Clément de Givry, Jean-Baptiste
Paradis
- le château d'Acqueville :
précisions sur le château d'Hacqueville dans l'Eure
12 novembre 2002
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