La rue de Poissy
Des terrains agricoles et des vignes entre la falaise et la Seine
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Le plan d'intendance de 1786 montre qu'entre les Falaises (représentées en vert foncé) et la Seine se trouvaient : - des terres labourables (en rose), |
En 1821, année d'établissement du cadastre Napoléonien, la tracé des deux chemins avait été modifié (ou bien le relevé de 1786 était imprécis). Les terrains apparaissent morcelés en longues parcelles, résultant vraisemblablement des successions familiales.
Ce quartier est composé de 3 parties :
- La Croix du Chemin Neuf,
- Les Iselles,
- Sous les Falaises.
Une seule maison y a été construite, bien avant la Révolution. Elle est toujours présente, à l'angle de la rue des Iselles et du chemin de la Sourde. |
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Du chemin à la route de Poissy
Un chemin très fréquenté, nécessitant des réparations fréquentes
A plusieurs reprises au début du XIXe siècle, le conseil municipal décide de réparer le chemin de Médan à Poissy, qui portait ce nom d'une extrémité à l'autre de la commune. Notamment, en 1838, il est devenu presque impraticable comme d'autres chemins communaux.
Les ressources financières de la commune étant insuffisantes, une nouvelle méthode, qui sera renouvelée pendant de nombreuses années, est décidée à cette occasion : les prestations en nature, analogues aux corvées d'autrefois. Chaque personne inscrite aux contributions directes, ainsi que ses fils et ses domestiques mâles, valides de plus de 18 ans, doivent consacrer 3 journées par an aux travaux de réparation des chemins. Il en est de même pour chaque bête de somme, bête de trait et chaque cheval de selle, d'attelage ou de luxe.
En 1847, pour la réparation du chemin ainsi que de la route du Président une imposition supplémentaire (5 centimes additionnels au principal des 4 contributions directes, c'est à dire une augmentation de 5 % des impôts) est décidée en complément des journées de prestation en nature.
En 1862, le chemin de Poissy à Meulan (numéro 44) est classé comme "ligne d'intérêt commun" ; le conseil municipal donne un avis favorable et réalise, l'année suivante, les travaux d'amélioration et de rectification du chemin.
Un chemin de grande communication
En 1886, ce chemin, qui était devenu la route départementale n° 26, est classé comme Chemin de Grande Communication n° 154.
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Une plaque apposée à cette époque est toujours visible sur l'une des maisons de la rue de Poissy. Elle indique que la grande ville voisine se trouve à 3,2 kilomètres et donne également les distances des localités situées de l'autre côté : Médan, Vernouillet, Les Mureaux. |
Le raccordement entre cette route n° 154 et la rue des Iselles est élargi en 1893. Deux cartes postales nous restituent l'aspect des deux extrémités de la route, quelques années plus tard.
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![]() A gauche, la route de Poissy |
Les constructions de maisons
Les recensements successifs de 1886 à 1936, effectués tous les 5 ans sauf pendant la guerre, indiquent les nombres de maisons et d'habitants par rue. Celui de 1881 les donne déjà pour les écarts, c'est à dire les lieux isolés du village tels que Les Iselles où il n'y a qu'une seule maison ; les deux nouvelles maisons de la rue des Iselles sont construites entre les années 1881 et 1886. Il y en a déjà une vingtaine rue de Poissy ; leur nombre baisse ensuite avant de croître au début du siècle suivant et de diminuer à nouveau.
Il est à noter en ce qui concerne les résidences secondaires, que leurs propriétaires parisiens sont généralement recensés dans la capitale mais ils ont souvent des domestiques qui résident toute l'année à Villennes.
Rue de Poissy
1886
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1891
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1896
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1901
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1906
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1921
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1926
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1931
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1936
|
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Maisons |
23
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16
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14
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21
|
21
|
13
|
14
|
14
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9
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Ménages |
29
|
25
|
21
|
21
|
17
|
14
|
15
|
10
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Individus |
93
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45
|
70
|
67
|
49
|
24
|
42
|
27
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Rue des Iselles
1881
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1886
|
1896
|
1901
|
1906
|
1911
|
1921
|
1926
|
1931
|
1936
|
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Maisons |
1
|
3
|
2
|
4
|
3
|
6
|
8
|
8
|
12
|
11
|
Ménages |
1
|
3
|
2
|
4
|
3
|
6
|
8
|
8
|
12
|
11
|
Individus |
5
|
11
|
3
|
8
|
9
|
17
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26
|
30
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37
|
31
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Le faible nombre de constructions indique que ces deux rues ne sont bordées que de quelques propriétés importantes, dont certaines seront divisées ou loties dans la deuxième moitié du XXe siècle.
Les débits de boissons
L'Hôtel du Nord
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Cet établissement n'a rien à voir avec le célèbre hôtel parisien, au bord du canal Saint Martin, qui a donné son nom à un film non moins connu. Il a été ouvert, dans sa maison, en 1884, par Lucien Damas Meunier, cultivateur comme ses ascendants ; son grand-père paternel, né à Orgeval en 1788, avait épousé une Villennoise, Marie Elisabeth Gaury, en 1813. Débit de boissons et liqueurs, à consommer sur place, il fut exploité successivement par deux locataires : à partir de 1887, un épicier, Edouard Adolphe Busseuil, puis deux ans plus tard un tailleur de pierres, Joseph Honoré Martin (gendre du propriétaire). |
Sa localisation, dans la rue de Poissy (Chemin d'intérêt commun n° 44 puis Chemin de Grande Communication n° 154) au lieu-dit "Les Falaises", n'a pas pu être déterminée précisément. Il se peut qu'il ait changé de nom, devenant le Chalet de la Montagne.
Le Chalet de la Montagne
La forme de cette maison, perpendiculaire à la rue, avec son chien assis, permet de reconnaître l'ancien débit de boissons de la rue de Poissy.
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Une sente, longeant la maison, monte vers la montagne, en fait la falaise sur laquelle se trouve le Bois des Falaises. |
Lorsque la photo a été prise, la propriétaire était Madame Laurent. | ![]() |
Le timbre de 5 centimes, en vigueur de 1900 à 1910 et à nouveau entre 1924 et 1932, correspon-drait plutôt à la deuxième époque. | ![]() |
Il s'agissait d'une halte agréable sur la route de Poissy, au milieu des champs, où s'édifiaient des villas. |
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Les villas de la rue de Poissy
La Vallée des Roses
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Bien qu'elle ait été divisée, cette propriété a conservé le nom de "Vallée des Roses" ; elle est située entre les voies de circulation nommées, au début du XIXe siècle, "route de St Germain à Vilaines" et "chemin de Poissy à Vilaines". Son terrain est en forte pente du côté de la falaise qui le domine et qui a donné son nom au deux lieux-dits sur lesquels il s'étend : "Sous les Falaises" et "Bois des Falaises". |
Les terres cultivées
En 1821, lors de l'établissement du cadastre Napoléonien, les propriétaires des parcelles, qui seront ultérieurement rassemblées pour constituer la propriété, sont pour la plupart issus d'anciennes familles de Villennes :
- H. Michel Lamiraux,
- Demarine (famille d'Orgeval alliée avec les Deberry, fermiers de
Beaulieu),
- P. Redeau (ou plus vraisemblablement Redaux),
- François (?) Giraux,
- Frédéric Souhard,
- Jérôme Giraux,
- Veuve Daumont,
- Jean J. Giraux,
- Dominique Beaugrand.
Les parcelles "Sous les Falaises" sont des terres plantées, l'une d'elles contenant une carrière. Elles seront complétées par un grand terrain triangulaire boisé faisant partie du Bois des Falaises, dont le propriétaire est alors celui du domaine de Migneaux, Jean Labat.
Regroupement des terrains et construction de maisons
Les propriétaires au XIXe siècle
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Plusieurs parisiens vont acheter des parcelles pour les rassembler. Les deux premiers exercent des métiers relativement modestes : boulanger et concierge.
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Ensuite, on trouve un marquis et l'architecte Eugène Jules Suffit, qui a construit à Villennes la villa devenue l'Hostellerie de la Nourrée. Est-ce ici ou au bord de la Seine qu'il aurait édifié cette chaumière, qui aurait pu lui servir de pied-à-terre pendant ce chantier ? |
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Les bâtiments
Le boulanger Honoré Charles Plouin fait plusieurs constructions sur les deux parties du terrain que nous désignerons par les noms des lieux-dits d'origine :
- Sous les Falaises : en 1871, il y fait construire une maison, puis en 1874 un bâtiment, comprenant une salle de billard et un atelier (qui seront dénommés en 1914 salle et belvédère, vraisemblablement après la surélévation),
- Bois des Falaises : il fait bâtir un pavillon en 1872.
En 1882, Berthe Bonhomme réalise, sur cette parcelle, deux constructions en complément du pavillon existant :
- une maison qui est vraisemblablement la villa subsistant de nos
jours,
- un pavillon pour domestiques, désigné à partir de 1911 sous le
nom de communs.
Il y aura également, sur une autre parcelle du Bois des Falaises, de l'autre côté de la route du Président, un petit bâtiment utilisé comme remise et sellerie.
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Cliquez ici puis sur la photo, pour voir d'autres images anciennes de la villa et de ses dépendances. |
Il est à noter qu'Henri Rainouard fait construire en 1895 un pavillon sur un terrain du bord de la Seine, désigné comme une saussaie (terrain planté de saules), qui sera acquis avec les autres biens par les propriétaires suivants. Situé en bordure du chemin devenu le sentier du Bord de l'eau, il sera vendu en 1926 par David Roitman, après démolition de la maison.
Le roi de la perle et son employé
Cliquez sur sa photographie, pour lire son étonnante biographie et connaître le destin extraordinaire de sa famille. C'est à un employé de sa maison de négoce de perles et de pierres précieuses qu'il cède la Vallée des Roses : David Roitman est comme lui de nationalité russe, mais originaire d'Odessa ; son épouse Dora Ochs est née à Paris de parents russes. Ces informations sont issues de l'état de dénombrement de la population de Villennes en 1921, qui laisse penser que la famille a fait de la villa sa résidence principale. Avec eux habitent alors leur deux fils et leur fille, une cuisinière et une femme de chambre. Ils logent, dans les autres bâtiments, un jardinier, sa femme et leur fille ainsi que deux membres de la famillle Ochs, vraisemblablement les parents de Mme Roitman. Les époux Roitman revendent la propriété en 1933. |
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Le remorcellement
Deux propriétaires se succèdent pendant les 40 années suivantes, avant qu'une société immobilière acquière la propriété en 1972 pour la lotir.
La villa est alors divisée en deux parties ; son terrain est partagé, non pas en parcelles allongées comme à l'origine mais en lots de taille suffisante pour y construire de nouvelles maisons ayant un accès par la rue de Poissy, l'avenue du Général de Gaulle ou la voie qui y est créée.
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Une partie commune boisée, issue de l'ancienne parcelle du Bois des Falaises, subsiste pour l'agrément des habitants de la Vallée des Roses. |
Les bâtiments qui subsistent
La maison du jardinier
La première maison, construite par un boulanger parisien, a été agrandie et embellie. Elle est devenue la maison du jardinier de la propriété puis celle du gardien, avant d'être de nos jours une agréable habitation.
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Son annexe abritait la salle de billard et l'atelier du boulanger, avant de recevoir son élégante surélévation. Elle a été utilisée, pendant un temps, comme poulailler.
La villa
Adossée à la falaise, la villa de style anglo-normand montre sa belle architecture grâce à sa position élevée.
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Il faut maintenant franchir la haie qui l'entoure pour la découvrir entièrement. | ![]() |
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L'architecte a placé des ouvertures vitrées larges mais différentes en façade et sur le côté. | ![]() |
Franchissons la terrasse extérieure, revêtue d'un joli carrelage représentant des chiens, pour pénétrer dans la villa. | ![]() |
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Un bel escalier de bois ouvragé conduit au premier étage. Les chambres possèdent toujours leur décoration d'origine. |
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Vista Bella
Cette villa, rebaptisée "La Chamade", est celle de la rue de Poissy dont l'architecture est certainement la plus remarquable et originale.
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Son architecture
Nous empruntons à l'ouvrage "Autour d'Orgeval de la boucle de Poissy au Pays de Cruye" de la Direction régionale des Affaires Culturelles d'Île-de-France la description suivante, en l'illustrant :
D'ailleurs, au rez-de-chaussée, Barbaud et Bauhain conçoivent plusieurs accès directs au jardin grâce à des portes-fenêtres. Celles-ci sont précédées à deux reprises de porches, soutenant ainsi des terrasses à l'étage. […] L'élévation sur trois niveaux - dont le dernier est inclus dans un comble aux pentes extrêmement raides - participe de cette volonté de permettre au regard d'embrasser toute la vallée.
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Cliquez ici pour lire quelques précisions sur les architectes, et le sculpteur, qui ont notamment réalisé ensemble en 1901 l'immeuble parisien "Art nouveau" du Syndicat de l’Épicerie, où se trouve, de nos jours, le Théâtre du Renard.
Ses premiers propriétaires
Nous retrouvons le théâtre avec les deux premiers propriétaires de la villa. Le directeur du Théâtre de Caen, Gaston Jacob, la bâtit en 1888.
La Clairière
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La villa et son architecture
Cette villa et ses communs (photo ci-dessous) furent construits en 1884 entre la route de Poissy et la route du Président (rue du Général de gaulle, de nos jours) sur des parcelles rassemblées depuis 1881. Celles-ci appartenaient à des familles d'agriculteurs (notamment Godfrin, Beaugrand, Lesieur et Allouis). |
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Voici la description de la maison, en 1890 :
Une
propriété située à Villennes, sur la route de Poissy avec entrée
principale par une porte normande comprenant savoir : 1. Maison d'habitation, genre villa, élevée sur sous-sol dans lesquels se trouvent les cuisines et les caves ; d'un rez de chaussée auquel on accède par un escalier avec salle à manger, grande salle de billard, office, vestibule, cabinet d'aisance ; d'un premier étage comprenant trois chambres à coucher et un cabinet de débarras ; d'un deuxième étage avec deux chambres, grenier au dessus. Grand jardin d'agrément dans lequel se trouvent un puits et une serre, contenant avec le sol des constructions quarante un ares vingt quatre centiares. Maison de jardinier, communs, écurie, remise, poulailler. 2. Jardin potager d'une contenance de neuf ares vingt centiares, en face de la propriété ci-dessus de l'autre côté de la route. 3. Et un petit bois situé en arrière de la route du Président avec petite maisonnette construite dessus, et ayant son entrée sur la route, contenant treize are vingt six centiares. |
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Le premier propriétaire
Fernand Thiéry était un éditeur très spécialisé, précurseur de la vente par correspondance (en l'occurence, de poupées). Il était le directeur-gérant du journal La Poupée Modèle, publié depuis 1862.
Ce journal s’imposa comme le principal magazine français pour les petites filles jusque vers 1905. |
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Cliquez sur la poupée pour mieux connaître celui qui fût l'un des premiers villégiaturants villennois.
Les propriétaires suivants
Fernand Thiéry loua sa villa, à partir de la fin de l'année 1890, à Paul Dauthuille avant de la lui vendre en mars 1893.
Celui-ci acquit alors une bande de terrain (900 m2) du côté de la villa La Vallée des Roses, dont le propriétaire était Henri Emile Rainouard. Il devait construire un mur mitoyen en moellons durs et mortier de chaux avec chaperon couvert en tuiles doubles, sur une longueur de 25 m à partir de la route de Poissy. M. Rainouard pouvait continuer la clôture, à ses frais, par un treillage ou un mur. Aucune des deux parties ne pouvait construire à moins de 10 m de cette limite une construction autre que des communs d'une hauteur maximum de 5 m.
Ensuite se succédèrent de multiples propriétaires :
- en 1900 : un médecin de Poissy, Auguste Cailleret,
- en 1906 : un négociant parisien, Henry Delière,
- en 1921, un représentant de commerce britannique, Louis Paul Charles
Goudchaux, auquel succéda son fils Louis Jean, assureur maritime (sujet
britannique naturalisé français en 1926),
- en 1938 : la compagnie d’assurances La Populaire,
- de 1969 à 1976 : Jacques Richard, sénateur de Seine & Oise de 1959
à 1967 puis député du Val d'Oise jusqu'en 1973.
L'Ermitage
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![]() C'est sur le potager de la villa La Clairière, situé de l'autre côté de la rue, que fût bâtie cette villa, dont le nom a été écrit avec un H ou sans. |
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Paul Dauthuille avait vendu ce terrain, lors de son acquisition de La Clairière, au voisin, Louis Bouchené dit Baron, propriétaire de la villa Vista Bella. |
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L'acquéreur n'avait pas le droit de faire de construction d'une hauteur supérieure à quatre mètres. La villa fut construite par M. Courtier de Vesles. |
Etait-il le peintre qui réalisa, notamment, en 1918 ce tableau Buissons de genêts au cœur de la forêt des Landes ? ![]() |
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Le Petit Bois
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Le terrain de cette villa, au toit à la Mansart, est situé à côté et derrière la croix au début de la rue de Poissy. Elle fut construite en 1887 sur le premier lot de la prairie de la Nourrée, acquis 6 ans plus tôt par Edouard Lecomte, menuisier parisien. Celui-ci la vendit bientôt à Edouard Labouret, directeur général de la Caisse Générale de Recouvrement et à Eugénie Rozier. Celle-ci sera la seule propriétaire à partir de 1898. |
Un médecin
L'annonce de la vente aux enchères de la villa, publiée le 11/4/1914 dans le journal Le courrier de Versailles, nous décrit la villa juste avant la Première Guerre mondiale et nous renseigne sur les propriétaires à cette époque :
Vente par suite d'acceptation bénéficiaire Au plus offrant et dernier enchérisseur
DESIGNATION Une propriété dite Villa Le Petit-Bois, sise à Villennes,
canton de Poissy, arrondissement de Versailles, route de Poissy
(Seine-et-Oise), lieu dit La Nouëe ou La Nourée, M1SE A PRIX Outre les charges, clauses et conditions énoncées au cahier des charges, les enchères seront reçues sur la mise à prix fixée par le jugement du six février mil neuf cent quatorze, à la somme de cinquante mille francs [...] |
Le maire de l'après-guerre
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Cette villa fut la propriété de Joseph Rainaut, maire de Villennes de 1945 à 1953. Architecte, il y habitait avec son épouse et leurs deux fils. La maison est restée dans sa famille, qui nous permet de la connaître à cette époque.
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Façades avant et arrière de la maison
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Le jardin
et sa statue |
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Le bassin |
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